Portant des bandeaux et brassards rouges et brandissant des pancartes aux messages expressifs de leurs maux et ire, ils ont ainsi exprimé leur ras-le-bol.
D. Diouf, leur porte-parole, a dénoncé un certain nombre de manquements : «La route Nguékokh–Tassette (Département de Thiès) traversant le village de Tène-Toubab et longue de 23 kilomètres, est crevassée et chaotique. L’emprunter pendant l’hivernage relève d’un parcours du combattant. En plus, elle permet aux populations d’aller vers les loumas et une mobilité vers Malicounda et Sindia. Son bitumage devient une nécessité impérieuse pour permettre aux gens de joindre les champs, mais aussi d’évacuer les récoltes et de transporter des malades ou des femmes enceintes en travail».
Un autre fait évoqué, est la présence de camions allant et venant des carrières, pour l’extraction et le convoiement de sable de dunes. Ils causent des désagréments du genre : pollutions sonore, atmosphérique et olfactive. Les marcheurs ont aussi abordé le manque d’électricité, les privant de beaucoup de commodités.
Une autre doléance mise en relief, par ces villageois, est relative à la gestion du forage pour l’accès à l’eau potable. A en croire à leur porte-parole, Aquatech ne répond pas à leurs aspirations pour la desserte et l’adduction en eau potable, malgré un abonnement exorbitant de 100 000 francs Cfa dans un milieu rural.
Sud quotidien
D. Diouf, leur porte-parole, a dénoncé un certain nombre de manquements : «La route Nguékokh–Tassette (Département de Thiès) traversant le village de Tène-Toubab et longue de 23 kilomètres, est crevassée et chaotique. L’emprunter pendant l’hivernage relève d’un parcours du combattant. En plus, elle permet aux populations d’aller vers les loumas et une mobilité vers Malicounda et Sindia. Son bitumage devient une nécessité impérieuse pour permettre aux gens de joindre les champs, mais aussi d’évacuer les récoltes et de transporter des malades ou des femmes enceintes en travail».
Un autre fait évoqué, est la présence de camions allant et venant des carrières, pour l’extraction et le convoiement de sable de dunes. Ils causent des désagréments du genre : pollutions sonore, atmosphérique et olfactive. Les marcheurs ont aussi abordé le manque d’électricité, les privant de beaucoup de commodités.
Une autre doléance mise en relief, par ces villageois, est relative à la gestion du forage pour l’accès à l’eau potable. A en croire à leur porte-parole, Aquatech ne répond pas à leurs aspirations pour la desserte et l’adduction en eau potable, malgré un abonnement exorbitant de 100 000 francs Cfa dans un milieu rural.
Sud quotidien