Il y a quelques jours, un homme se faisait sectionner le bras par son voisin à Sinthiou Mbadane dans le département de Mbour. Mardi dernier, c’est encore un jeune habitant de Sinthiou qui a usé de son coupe-coupe dans une dispute qui l’a opposé à un charretier
«Je rentrais chez moi quand j’ai rencontré un charretier. Je lui ai demandé de me déposer. Il s’est mis à m’insulter. Il tenait des propos haineux contre notre ethnie. C’est lui qui m’a attaqué le premier en me jetant une pierre à la tête. Je me suis vengé en lui assénant des coups avec mon coupe-coupe. J’étais ivre et je regrette mon acte», a déclaré le prévenu Elhadji Sow.
. Il est accusé de coups et blessures volontaires et d’usage illégal d’arme blanche
Les coups que Elhadji a assénés à la partie civile lui ont valu une incapacité temporaire de travail de 18 jours. «Il faut arrêter ces criminels ambulants, les coupe-coupe en bandoulière, qui font la terreur dans ce village. Ils méritent des peines sévères. Le prévenu a cherché mon client.
Et quand le témoin les a séparés, il l’a suivi et lui a assené des coups de coupe-coupe. Je demande des dommages et intérêts de 2 millions», a plaidé Me Omar Sène, l’avocat de la partie civile
«Le prévenu a reconnu les faits et a regretté son acte. Il y a eu un seul témoin et il n’a pas été prouvé que c’est mon client qui l’a suivi. Il y a des zones d’ombre. C’est un incident regrettable. Mon client avait été engagé par une société pour couper des arbres, c’est ce qui explique l’usage du coupe-coupe», a plaidé l’autre Me Sène, avocat de la défense.
Le tribunal a mis l’affaire en délibéré pour être jugée le 13 février.
Bes Bi
«Je rentrais chez moi quand j’ai rencontré un charretier. Je lui ai demandé de me déposer. Il s’est mis à m’insulter. Il tenait des propos haineux contre notre ethnie. C’est lui qui m’a attaqué le premier en me jetant une pierre à la tête. Je me suis vengé en lui assénant des coups avec mon coupe-coupe. J’étais ivre et je regrette mon acte», a déclaré le prévenu Elhadji Sow.
. Il est accusé de coups et blessures volontaires et d’usage illégal d’arme blanche
Les coups que Elhadji a assénés à la partie civile lui ont valu une incapacité temporaire de travail de 18 jours. «Il faut arrêter ces criminels ambulants, les coupe-coupe en bandoulière, qui font la terreur dans ce village. Ils méritent des peines sévères. Le prévenu a cherché mon client.
Et quand le témoin les a séparés, il l’a suivi et lui a assené des coups de coupe-coupe. Je demande des dommages et intérêts de 2 millions», a plaidé Me Omar Sène, l’avocat de la partie civile
«Le prévenu a reconnu les faits et a regretté son acte. Il y a eu un seul témoin et il n’a pas été prouvé que c’est mon client qui l’a suivi. Il y a des zones d’ombre. C’est un incident regrettable. Mon client avait été engagé par une société pour couper des arbres, c’est ce qui explique l’usage du coupe-coupe», a plaidé l’autre Me Sène, avocat de la défense.
Le tribunal a mis l’affaire en délibéré pour être jugée le 13 février.
Bes Bi