Et de poursuivre : « tout le monde doit accepter l’application de cette décision. On ne doit pas remettre en cause des décisions de justice. C’est pourquoi, j’invite tout le monde à appliquer la décision. Il faut que certains arrêtent de pousser les gosses dans la rue pour brûler des pneus. Ce n’est pas juste, ce n’est pas courageux. Moi, quand j’étais dans l’opposition, je mettais toujours à la tête des marcheurs. Je dirigeais les marches moi-même. Ce n’est pas leur cas. C’est pourquoi aussi, aux chefs de famille, je dis ceci : « gardez vos enfants. Refusez qu’on les utilise. Il ne faut pas qu’on mobilise vos enfants, -tout en gardant les leurs-, pour faire la casse. Ils disent qu’ils vont brûler le pays… C’est faux, personne ne peut brûler le Sénégal. Ce sont des soubresauts. Les leaders de l’opposition, nous nous connaissons bien. Nous sommes de la même génération. En 2000, ils m’ont aidé à conquérir le pouvoir. Une fois, au pouvoir, ils ont pensé que c’était eux qui étaient élus et non moi ». Entre deux fous rires, Me Wade ironise en parlant un wolof clair : « Demaleen wo pur nu lek, nu bug fokkati bool bi » (je les ai invités à venir manger, ils ont voulu prendre le bol et partir avec…) »
Toujours selon le Pape du Sopi : « le 26 février 2012, ce sera un nouveau Sénégal. Un autre Sénégal. Le Sénégal va changer. Ce sera la retraite pour la majorité des leaders actuels. C’est la fin d’un cycle. Et moi, après ma victoire, je resterai pour organiser ma succession. J’organiserai le parti pour la succession ».
Très provocateur, Me Wade indiquera que « celui qui n’aura pas compris cela, n’aura rien compris. Il aura raté le coche. Avec la parité intégrale, partout, à l’Assemblée nationale, dans les autres institutions, c’est un nouveau Sénégal. Vous savez bien, moi j’ai toujours parié sur les femmes. Je crois bien à leur utilité et à leur importance dans la marche du pays ».
Le candidat de Fal 2012, très heureux de voir sa très contestée candidature validée par le Conseil constitutionnel remontera le déluge. « Vous savez quand j’ai dit que je vais être candidat l’opposition a rué dans les brancards et certains m’ont défié à travers un ultimatum me demandant de dire que je retire ma candidature. Je m’en suis marré… Et je me suis dit que ces gens-là me connaissaient mal. Je me suis demandé s’ils étaient normaux tellement leur revendication était ridicule ». « Comment demander à une grande personne de se dédire en disant : « je renonce à ma candidature. (Rires). C’est mal me connaître que de vouloir me pousser à le faire ». Je répète encore que je ne suis pas surpris par la décision du Conseil constitutionnel qui n’a fait que dire le droit. Eh oui, 11 professeurs de droit français parmi ceux que j’avais pris pour étudier la validité ou non de ma candidature étaient arrivés à la même conclusion que le Conseil constitutionnel. Et n’oublions pas que le droit sénégalais s’inspire du droit français. Et moi, j’appartiens à cette école-là. C’est moi qui ai écrit la Constitution en question. C’est vrai j’ai saisi quelques personnes pour la relecture et des remarques, mais c’est mon texte. J’en suis l’auteur, le seul et unique. A ceux qui prouveront qu’ils ont écrit cette constitution, je propose d’offrir la rondelette somme de dix millions (10 000 000) de francs Cfa ».
Ferloo
Toujours selon le Pape du Sopi : « le 26 février 2012, ce sera un nouveau Sénégal. Un autre Sénégal. Le Sénégal va changer. Ce sera la retraite pour la majorité des leaders actuels. C’est la fin d’un cycle. Et moi, après ma victoire, je resterai pour organiser ma succession. J’organiserai le parti pour la succession ».
Très provocateur, Me Wade indiquera que « celui qui n’aura pas compris cela, n’aura rien compris. Il aura raté le coche. Avec la parité intégrale, partout, à l’Assemblée nationale, dans les autres institutions, c’est un nouveau Sénégal. Vous savez bien, moi j’ai toujours parié sur les femmes. Je crois bien à leur utilité et à leur importance dans la marche du pays ».
Le candidat de Fal 2012, très heureux de voir sa très contestée candidature validée par le Conseil constitutionnel remontera le déluge. « Vous savez quand j’ai dit que je vais être candidat l’opposition a rué dans les brancards et certains m’ont défié à travers un ultimatum me demandant de dire que je retire ma candidature. Je m’en suis marré… Et je me suis dit que ces gens-là me connaissaient mal. Je me suis demandé s’ils étaient normaux tellement leur revendication était ridicule ». « Comment demander à une grande personne de se dédire en disant : « je renonce à ma candidature. (Rires). C’est mal me connaître que de vouloir me pousser à le faire ». Je répète encore que je ne suis pas surpris par la décision du Conseil constitutionnel qui n’a fait que dire le droit. Eh oui, 11 professeurs de droit français parmi ceux que j’avais pris pour étudier la validité ou non de ma candidature étaient arrivés à la même conclusion que le Conseil constitutionnel. Et n’oublions pas que le droit sénégalais s’inspire du droit français. Et moi, j’appartiens à cette école-là. C’est moi qui ai écrit la Constitution en question. C’est vrai j’ai saisi quelques personnes pour la relecture et des remarques, mais c’est mon texte. J’en suis l’auteur, le seul et unique. A ceux qui prouveront qu’ils ont écrit cette constitution, je propose d’offrir la rondelette somme de dix millions (10 000 000) de francs Cfa ».
Ferloo