leral.net | S'informer en temps réel

Me Abdoulaye Wade, hier, depuis Abidjan : « Il faut résister aux pressions des pouvoirs »

L’Association des jeunes avocats de Côte d’Ivoire a ouvert, hier, au Plateau, le 2ème congrès de la Fédération africaine des associations et unions de jeunes avocats (Fauja).


Rédigé par leral.net le Mercredi 18 Décembre 2013 à 08:42 | | 5 commentaire(s)|

Me Abdoulaye Wade, hier, depuis Abidjan : « Il faut résister aux pressions des pouvoirs »
En partageant son expérience avec les jeunes avocats au cours de la conférence inaugurale sur le thème: «Jeunes avocats africains au service du développement de l’Afrique», le parrain, Me Abdoulaye Wade, ancien chef d’Etat du Sénégal, a relevé la complexité liée au métier d’avocat. Il leur a conseillé de défendre la liberté dans toutes les circonstances en se laissant guider par la grande vertu qu’est la justice. «Il faut faire bouger le monde, défendez la liberté, dans le respect de la justice….Vous devez défendre les procès des complots politiques, résister aux pressions des pouvoirs…», a-t-il conseillé. Pour sa part, Nadia Camara, présidente de la Fédération africaine des associations et unions de jeunes avocats (Fa-uja), a appelé les jeunes avocats à s’armer de courage, pour la promotion du droit qui passe nécessairement par la consolidation de la paix et des droits humains. Elle a également invité «les barreaux à arrêter de ruser avec les jeunes avocats». Cet appel a été entendu par Me Koné Mamadou, bâtonnier du barreau d’Abidjan, qui a tenu à rassurer les jeunes avocats à qui il a demandé d’agir avec intelligence sans conflit d’intérêt. Quant à Philippe Yao, nouveau président de l’Association des jeunes avocats de Côte d’Ivoire, il est revenu sur le rôle primordial de l’Avocat dans le nouveau contexte économique des pays. Pour lui, l’avocat doit être un acteur du développement à travers l’édification sur les droits humains en se réappropriant les principes de droits. Le congrès prend fin aujourd’hui.

Abidjant.net

LERAL NEWS


1.Posté par bokidiawe le 18/12/2013 09:04 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

tu es un menteur toi meme tu avais fais la pression a la justice pour emprisonner idrissa seck tu raconte quoi ne faut tromper les gens voleur.

2.Posté par vrai le 18/12/2013 10:37 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

bravo wade!!! voila un president sans complexe.

3.Posté par MANE Moussa le 18/12/2013 11:03 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

Pour des personnes qui croient parler de politique ou observent et analysent l'espace politique Africain et international, la situation du Cameroun doit convaincre la plupart d'entre nous sur le bien fondé de notre lutte pour un Etat démocratique et de droit. Ainsi, qui parmi nous trouve normal que des citoyens Camerounais soient emprisonnés depuis 20 ans, voire 24 ans pour certains? Et d'ailleurs, Messieurs Titus Edzoa comme Michel Thierry Atangana ont déjà purgé 15 ans de prison et à nouveau condamnés pour 20 ans chacun pour les mêmes chefs d'inculpation. Quelle similitude fragrante avec ce qui se passe aujourd'hui au Sénégal , où les mêmes accusations produisent les mêmes effets et méthodes. Ainsi, on prend en haleine les populations dans un maelstrom fait de patience, de peur, de doute ambivalent, d'espoir et d'oubli dans l'esprit de ceux qui viennent de naître; car 15 ans, 20 ans et 24 ans de prison, ce n'est pas que rien pour un supposé détournements. Qui sont ces accusés et tant d'autres qui croupissent dans les geôles Camerounais? M. Titus Edzoa est ex-Secrétaire de la présidence de la république Camerounaise et M. Michel Atangana, un employé de l'entreprise Jean Lefebvre. M. Titus Edzoa a démissionné en 1997 du Secrétariat de la présidence Camerounaise et s'est porté candidat à la présidence; ainsi, M. Michel Atangana devrait être son directeur de campagne. Il a suffi de quelques jours pour que ces deux personnes soient arrêtées et emprisonnées pour faits de détournement de deniers publics. M. Michel Atangana a toujours nié vouloir devenir le directeur de campagne de M. Titus et tous deux nient les détournements. Bien que des irrégularités soient observées au niveau de la procédure d'inculpation, rien n'y est fait, des magistrats exécutant les ordres de Paul BIYA continuent par peur de représailles à maintenir ces otages en prison. Quels droit et "esprit" de justice permettent de maintenir quelqu'un en prison pour 20 ans, 35 ans pour une simple accusation de détournements dont on est pas exempt soi-même. Qui de nous prétend que BIYA comme Macky est l'homme le plus propre par rapport à la corruption et l'enrichissement supposé illicite? Alors, nous ne devrons pas admettre que le droit cède le pas au cynisme pervers et dans lequel l'acteur ou donneur d'ordre fait semblant de laisser la "justice" suivre son cours. En effet, même au temps des pendaisons ou des guillotines, il y a et existe toujours un grand criminel capable de trancher la gorge d'un condamné ou actionner la guillotine ou injecter le produit mortel pour enlever la vie à un condamné. Et ce monsieur qui commet cet acte ignoble croit le faire au nom de l'éthique, du droit, de la morale, de l'esprit de justice et même au nom du bon Dieu. Dès lors, ce crime n'empêchera pas notre supposé exécuteur de la "justice" à s'asseoir devant sa femme et ses enfants pour les chérir et les entourer "d'affections" sans pour autant oser leur avouer son métier criminel. Non, je ne veux pas que notre pays, notre cher Sénégal ressemble à ce Cameroun de Paul BIYA qui se croit démocrate avec des scores d'élections présidentielles de 77.99% (6 fois reconduit avec un mandat de 7 ans chacun) comme au BURKINA Fasso. J'aimerais bien qu'à la place des injures, que les intervenants m'opposent des arguments, des analyses et des preuves de leurs accusations ou de leurs contestations de mes propos. De 1960 à 1974, le Sénégal n'a connu qu'un parti unique reconnu et qui est celui des gouvernements. Ainsi, les autres partis non reconnus restaient dans la clandestinité avec les risques de guérillas menées par certains qui sont en ce moment au pouvoir tel que DANSOKHO; il a fallu l'intelligence de Maître Abdoulaye WADE pour que le Président SENGHOR reconnaisse l'existence du multipartisme, en l'occurrence celle du PDS. Malgré les embuches du pouvoir en place, Maître Abdoulaye WADE a évité de tout temps une guerre civile même lorsque l'on lui refuse la victoire des élections présidentielles. Pour mieux diviser et régner, le Président DIOUF a autorisé le multipartisme intégral qui entraine au Sénégal, la reconnaissance de centaine de partis politiques pour gêner le PDS. Avec la patience d'un homme d'Etat, Maître Abdoulaye resta dans l'opposition légale jusqu'à sa victoire de 2000 en coalition avec certains partis politiques. Après quelques moments de gouvernance commune, il estima qu'une gouvernance ne peut se prévaloir de deus ou plusieurs exécutifs pour mener à bien un programme de gouvernement. Il se sépara alors des alliés encombrants tels que les NIASSE et DANSOKHO. Dès lors, il rassura les investisseurs tout en mettant des mécanismes osés d'affirmation d'une politique libérale de démocratie sociale, empreinte d'un brin de nationalisme. Il libéralisa des médias qui va de la multiplication des radios, des télévisions, des journaux jusqu'à l'organisation et la transparence dans les élections. Qui dit mieux en Afrique et même dans certains états Occidentaux? Personne, évidemment. Il se lança dans la création d'infrastructures qu'aucun gouvernement Sénégalais et je dirai même Africain n'a osé entreprendre. Il a défié toutes les recommandations du FMI, de la Banque Mondiale qui ne cadrent pas avec sa vision politique de développement des pays Africains. Alors, on en veut à cet homme iconoclaste qui connait leur manège de recommandations qu'ils ne s'appliquent pas. Etant donné qu'il s'est toujours montré démocratique dans la chair, l'âme, la démarche et l'action; il ne reste plus à ses détracteurs qu'à utiliser les services de jeunes "drogués" comme dirait le frère de Macky SALL, des supposées sociétés civiles de droit de l'homme qui logent en ce moment au palais, des pseudos- intellectuels pamphlétistes (Latif et Jules DIOP), des opposants aigris, précédemment alliés encombrants socialo-communistes et le grand capital international (BOLLORE et cie) à qui, il a dit non et non. Il ne reste à ces pseudos- opposants "intègres" qu'à inventer un plan diabolique de dénigrement à l'échelle planétaire, même au prix du sang que le Président WADE a toujours refusé. On l'accusa de despotisme, de népotisme pour quelqu'un qui a consacré toute sa vie à instaurer une démocratie digne de ce nom en Afrique. La stratégie médiatique aidant, ils créèrent de toute pièce des pôles de concentration de la haine qu'ils lancèrent aux populations comme des orties qui doivent les indisposer à défendre le bilan du Président WADE. Le Président WADE n'a pas perdu le pouvoir à cause de son bilan économique qui est visible, concret, palpable et incontestable mais seulement par le slogan, "WADE veut se faire remplacer par son fils", "WADE a volé ou bradé l'argent du peuple" et même après son départ; c'est "WADE a volé les tableaux du palais", "Mme WADE a emporté les casseroles du palais", "WADE a volé 650 véhicules". Franchement, il faut vraiment être un simple d'esprit d'esprit et un esprit simple pour avaler toutes ces couleuvres! Et comme il fallait maintenir cette pression médiatico-financière, il a fallu prendre en otage quelques caciques de l'ancien régime et le premier d'entre eux, M. Karim WADE. De ce fait, cette traque de supposés "biens mal acquis" restera d'actualité lorsque l'on n'arrivera pas à honorer les promesses électorales de mars 2012. Leur échec économique se caractérisant par la création de petits emplois comme ceux des veilleurs de nuit, des gardiens d'immeubles, d'agents de sécurité pour les quartiers et le port de Dakar réservés aux bacheliers et titulaires de master, que personne, même un fou ne peut opposer aux réalisations du Président WADE. Enfin, nulle ne peut nier la tromperie, la supercherie de ceux qui veulent prendre le pouvoir par tous les moyens avec un seul mot d'ordre, "tout sauf WADE"en ayant mutualisé les méthodes et les armes qui les obligent à maintenir leur coalition en ce moment, sinon, ce serait le grand déballage entre "amis". Il faudrait être unis et solidaires au prix du mensonge pour exister et demeurer au pouvoir. Le semblant de justice aidant à la Camerounaise, ils doivent savoir que le Sénégal n'est pas encore le Cameroun que nous ne méprisons nullement pas mais le Président WADE, en passant par SENGHOR et DIOUF laissé une démocratie que personne ne peut torpiller indéfiment sans se faire rappeler à l'odre ou subir une contestation monstre qui secouera la république. En lieu et place des injures, postez des arguments et analyses qui vous honorent et vous rendent crédibles au regard des internautes qui nous lisent. Vive le Sénégal, vive la démocratie, vive l'Etat de droit et vive le Président WADE à qui nous devons reconnaissance et respect.

4.Posté par fatim le 18/12/2013 13:16 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

MERCI MON PRESIDENT

5.Posté par macky-honte le 18/12/2013 15:22 | Alerter
Utilisez le formulaire ci-dessous pour envoyer une alerte au responsable du site concernant ce commentaire :
Annuler

macky et son gouvernement pensnt qu'avec le fitissisme ils peuvent dompter le peuple pour toujour..MACKY FETISSEUR!!!!

Nouveau commentaire :

Tout commentaire à caractère commercial, insultant, pornographique, raciste, homophobe, incitant à la violence ou contraire aux lois sénégalaises sera supprimé, Peut entraîner votre bannissement total du site