L’affaire tourne autour d’une maison familiale vendue en 2008 avec l’aide de Aissata Tall Sall. « Nous croyons qu’elle a utilisé notre argent et pour récupérer cet argent, nous sommes prêts à donner notre vie. Je me sens un peu complice, puisque c’est moi qui ai conseillé à ma sœur de l’engager », déclare Ignace Galbert Badji qui se sent « trahi » par l’avocate.
Il l’accuse de confiscation de l’héritage de sa sœur, Madame Sadio née Angélique Seck, et de trois de ses neveux (Alain Inès, Philippe Gérard et Ludmille Louise Marie-Cécile », dont elle défendait les intérêts dans le partage de l’actif du patrimoine du défunt Albert Sadio avec quatre (4) autres de ses enfants (Georges François, Jean-Charles, Prosper Edgar et Antoine Maurice) nés d’une première union.
Il l’accuse de confiscation de l’héritage de sa sœur, Madame Sadio née Angélique Seck, et de trois de ses neveux (Alain Inès, Philippe Gérard et Ludmille Louise Marie-Cécile », dont elle défendait les intérêts dans le partage de l’actif du patrimoine du défunt Albert Sadio avec quatre (4) autres de ses enfants (Georges François, Jean-Charles, Prosper Edgar et Antoine Maurice) nés d’une première union.