La Cour européenne des droits de l’homme a dit : «toute personne qui a maille à partir avec la justice, peut se présenter à une élection, sauf en cas de condamnation définitive».
Ceci pour dire que même les Conventions internationales militent en faveur de sa candidature. A la lumière de ces textes que je viens d’énumérer, Diomaye (Faye) peut bel et bien se présenter à la prochaine élection présidentielle
D’ailleurs, je rappelle que lors des Législatives de 2012, Barthélémy Dias, qui était à l’époque en détention préventive dans l’affaire du meurtre de Ndiaga Diouf, a été investi par feu Ousmane Tanor Dieng, dans les listes des députés de la coalition Benno Bokk Yakaar.
Il en est de même pour Khalifa Ababacar Sall, qui a même été investi tête de liste de la coalition Manko Taxawu Sénégal, lors des Législatives de 2017, alors qu’il était en prison. Sur le plan pénal, il n’y a aucune entrave à sa candidature.
Maintenant, il reste à voir si cette candidature ne tombe pas sous le coup des dispositions de l’article L.57 du Code électoral, qui fixe les critères d’une candidature indépendante.
En effet, le Pastef étant dissous, la seule possibilité qui s’offre à Bassirou Diomaye Faye, c’est de se présenter sous la bannière d’un indépendant ou se faire investir par un autre parti ou une coalition».
Ceci pour dire que même les Conventions internationales militent en faveur de sa candidature. A la lumière de ces textes que je viens d’énumérer, Diomaye (Faye) peut bel et bien se présenter à la prochaine élection présidentielle
D’ailleurs, je rappelle que lors des Législatives de 2012, Barthélémy Dias, qui était à l’époque en détention préventive dans l’affaire du meurtre de Ndiaga Diouf, a été investi par feu Ousmane Tanor Dieng, dans les listes des députés de la coalition Benno Bokk Yakaar.
Il en est de même pour Khalifa Ababacar Sall, qui a même été investi tête de liste de la coalition Manko Taxawu Sénégal, lors des Législatives de 2017, alors qu’il était en prison. Sur le plan pénal, il n’y a aucune entrave à sa candidature.
Maintenant, il reste à voir si cette candidature ne tombe pas sous le coup des dispositions de l’article L.57 du Code électoral, qui fixe les critères d’une candidature indépendante.
En effet, le Pastef étant dissous, la seule possibilité qui s’offre à Bassirou Diomaye Faye, c’est de se présenter sous la bannière d’un indépendant ou se faire investir par un autre parti ou une coalition».