Me El Hadj Diouf aurait expliqué que l'accusatrice est en fait sa nièce et qu'il lui a seulement lancé un vieux dicton wolof: "jaarbat, jabari baat" (ma nièce, épouse légitime). Mais que cette dernière , bien que Sénégalaise d'origine, mais ne comprenant pas bien le wolof, aurait mal interprété ses propos. Seulement à en croire d'autres sources proches du dossier interrogés par le journal Libération, cet argumentaire a été démonté par la plaignante, qui dans sa déposition, a soutenu avoir été "palpée" par l'avocat, sans consentement. Informe le journal.
Me El Hadj Diouf: "C'est un piège qu'on m'a tendu"LERAL.NET Libération est aujourd’hui"hui encore revenue sur l'affaire ME El Hadj Diouf avec de nouvelles informations. En effet on ne parle plus de viol, mais d'attouchements non consentis.Rédigé par leral.net le Samedi 24 Mars 2012 à 09:27 | | 2 commentaire(s)|
Nouveau commentaire :
|
Les articles les plus consultés
Les articles les plus commentés de la semaine
|