Me El Hadji Diouf : « Il faut arrêter Mimi Touré avant qu’il ne soit trop tard »

Maitre el hadj diouf : Tous les fous ne sont pas a l’asile
Maitre El Hadji Diouf est avocat. Quel dommage pour les justiciables.
En effet, dans les prétoires, l’homme se fait plus remarquer par ses coups d’éclat que des victoires.. Mais c’est surtout hors des tribunaux que notre homme se sent à l’aise. En particulier à travers les ondes des radios, sur les plateaux de télévision et à longueur de colonnes de journaux
Car l’homme est aussi politicien. Tout au moins prétend-t-il faire de la politique. A sa façon. C’est à dire en usant et abusant d’un chantage éhonté à travers des mots crus, incisifs, discourtois et inélégants. Voilà un homme qui ne s’impose aucune limite ni intellectuelle ni même morale .Et cela en tout d’ailleurs (l’homme a déclaré dans une itv avoir répudié une de ses épouses pour cause d’adultère).C’est dire.
Il a son parti. Qui ne s’est jamais réuni en congrès et dont on ignore les autres membres. Il est au four et au moulin.IL crie, vitupère, et quand il soulève sa robe l’invective et l’insulte lui servent de dessous.
Il ne compte d’ailleurs pas sur cette formation pour se faire élire .Tout occupé qu’il est a guetter les coalitions en période électorale et a se faire ainsi une place au soleil .Cela avait marché sous wade et une place dans la coalition sopi lui avait permis de se ceindre de l’écharpe tricolore et de siéger a la place Soweto.IL ne tarda pas a cracher dans la bouillabaise libérale en sentant que la direction du vent était en train de changer deux ans avant la chute de Me wade. Ce dernier qui s’arrachait presque les cheveux à chaque apparition de Diouf avait quelques années avant, trouvé la formule : Donner a cet avocat tout ce dont il avait toujours rêvé toute sa vie : être ministre. Qu’importe si c’était le département des bassins de rétention et des lacs artificiels. (Il est interdit de rire). La vacuité du concept ne constituait nullement un frein aux ambitions de cet avocat. Etre ministre et mourir aux yeux de l’opinion ?qu’importe.il aura été ministre avant de mourir
Wade ne s’y était pas trompé : L’avocat devint tout doux tout miel, reconnaissant s’être longtemps mépris sur la vraie personnalité de Wade .Une chance pour notre pays d’avoir un tel président .C’était à la télé et beaucoup durent se pincer pour se prouver qu’ils ne rêvaient pas. Le mal était fait et nombre de sénégalais comprirent le dessein de Diouf. Un descendant de roi comme il tient a le rappeler (on s’en tape au demeurant) dont l’attitude versatile et opportuniste n’a rien de chevaleresque.
Aux législatives de 2012,il se risqua a diriger une coalition. Ses résultats lui permirent tout juste de passer a la faveur du plus fort reste. Dans un examen on aurait dit qu’il a été repêché. Pour cette fois, les sénégalais avaient réussi a distinguer un politique d’un comique. En dépit de la rime.
Toutefois depuis un certain moment, notre avocat est en train de perdre ce qui lui restait de bon sens. Sa tète de turc(que ?) Préférée en la circonstance ? Mais MIMI touré bien sur. Et le principal grief retenu contre l’ex garde des sceaux est d’avoir réactivé l’affaire habré .L’ancien pdt tchadien poursuivi pour crimes contre l’humanité et autres gaietés du genre, et qui devrait être jugé d’ici deux ans au plus. Cette fois l’affaire a pris une tournure telle que l’ancien homme fort de Ndjamena semble jouer une carte ultime. Un jeu à quitte ou double. Les perspectives ne sont pas pour rassurer l’avocat, certain au moins d’une chose :les biens de son meilleur client risquent d’être saisis et ses émoluments pourraient s’en ressentir. La faute a qui ?mimi bien sur source d’incertitude financiére.*
Et comme ce seul front ne suffisait pas, l’homme en robe a perdu tout simplement la tête depuis que celle-ci a été désignée PM. Cette promotion, logique pour tous les observateurs désintéressés et objectifs, a sonné, pour l’avocat comme une « explosion nucléaire ».dixit l’instable avocat. L’affaire habré ne faisant pas recette auprès de l’opinion, quoi de plus normal que d’enfourcher la monture de la traque des biens mal acquis. Et de nous rabattre les oreilles avec une position que semblait avoir prise l’ex garde des sceaux ,qui en l’occurrence n’avait fait que dire son avis personnel en disant toute son opposition a toutes formes de transactions en ce qui concerne les affaires en cours. Tout comme d’autres ministres ont dit leur opposition a un procès de Hissene Habré sans entendre aucun appel a la démission de la part de la tonitruance en robe symbolisée par Me diouf.
L’argument rabâché finit par lasser surtout quand notre ami veut bien prédire l’échec de Mimi, qui va pris service il y a dix jours. Seulement. Aucun acte posé pour le moment ne peut expliquer une si catastrophiste adivination.
Alors difficile de comprendre l’agressivité de cet homme sauf à chercher dans ce que l’humain a de plus bas. A savoir une jalousie envieuse enrobée de méchanceté. Une femme, plus jeune, a la téte mieux faite et qui l’a prouvé ailleurs. Il ne manquait pus que cette tare pour faire de Me El hadji Diouf un cas intéressant pour étudiants en psychiatrie : Sauf à méditer MALHERBE : Vouloir ce que Dieu veut est la seule science qui nous met au repos.
PS : Ah oui. Ou en cette affaire de jupe en France ? C’était juste avant le premier tour 2012.Il était poursuivi pour viol . « caresse » a-t-il rectifié à l’époque. En octobre de la même année, il avait été condamné a six mois avec sursis. On retient que la victime est la fille d’un de ses amis. On imagine la tête de celui-ci. L’homme en robe a ainsi prouvé son problème avec sa braguette. Au secours, FREUD.

en tout cas maitre tu as raison elle est folle celle là

nous ne devons pas traiter les autres de fou quand ils disent des choses qui dérangent mais plutôt cherchons à être objectifs nous connaîtrons la vérité.

Contrairement aux idées reçues, les" vrais fous" ne sont pas en dehors de la réalité commune, ils en perçoivent seulement sans disposer de filtre, de tampon, la dure vérité. Je ne sais pas si cet avocat est fou mais c'est vrai que la MIMI de Macky risque de mettre le feu au éégal en voulant "forcer" le peuple à différer l'expression démocratique de son légitime mécontentement. Reste qu'à part des manfestations et une décision du Président , on ne voit pas ce qui pourrait l'arrêter dans cette pente de la magouille politicienne et du mépris des électeurs. Nous ne sommes pas manchots disait - ele il y a peu ; il y a pire que manchots : "les bras cassés" !.

Cette Dame agit sans se sentir responsable des conséquences de ce qu'elle fait.
Elle agit sous la loi de la soumission à l’autorité selon Stanley Milgram : ‘’celui qui incarne le tortionnaire ne se perçoit pas comme quelqu’un agissant de manière autonome, mais comme un simple agent de l’autorité par laquelle il accepterait d’être contrôlé’’ .
L'expérience psychologique de Milgram a été réalisée entre 1960 et 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram. Cette expérience cherchait à évaluer le degré d'obéissance d'un individu devant une autorité qu'il juge légitime et à analyser le processus de soumission à l'autorité, notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet.
On parle plus volontiers dans la Francophonie de « soumission à l'autorité », probablement parce qu'il s'agit là d'une attitude qui va largement au-delà de l'obéissance consentie, et de la simple notion d'obéissance telle que consentie en début d'expérience et qu'il y a un net écrasement du domaine des valeurs : on retrouve la problématique évoquée largement au procès d'Adolf Eichmann, qui articulait sa défense sur le thème « J'ai obéi aux ordres ».

L'OBS - A cause de l’insécurité, plusieurs villages de la communauté rurale de Boutoupa-Camaracounda, département de Ziguinchor, ont été vidés de leurs populations et, avec elles, de leurs élèves obligés de suivre leurs parents. Dans cette bourgade affectée par le conflit armé qui sévit depuis plus de 30 ans en Casamance, des dizaines d’écoles ont été rayées de la carte scolaire, obligeant des centaines de potaches à abandonner les classes ou se déplacer à Ziguinchor pour continuer leurs études. Reportage !

Au moment où les potaches du Sénégal s’apprêtent à retrouver le chemin de l’école, quelque part dans le département de Ziguinchor, plus exactement dans la communauté rurale de Boutoupa-Camaracounda, plusieurs centaines de jeunes filles et garçons ne connaîtront pas, une fois encore, de rentrée des classes. Leur tort : ils habitent dans des villages rayés, depuis quelques années, de la carte scolaire de la région du Sud à cause de l’insécurité. Une situation quasi-chronique dans cette partie du Sénégal qui traduit le calvaire d’une population souvent contrainte à l’exil pour échapper aux violences armées. Avec elle, des centaines d’élèves obligés de sauver leur peau en suivant leur parents.

Il y a quelques années, cette contrée située à 25 kilomètre de Ziguinchor et qui polarise 24 villages n’avait presque plus d’école. A place des bâtiments criblés de balles et abandonnés, il n’y avait...