« En ma qualité de président honoraire d’une institution nationale de la République, le décret me conférant l’honorariat dispose entre autres que je suis ‘invité aux cérémonies officielles de la République. Vous n’avez pas cru donner suite à ce jour à ma requête. Cette absence de réponse commençait à m’intriguer parce que je crois avoir eu de tout temps d’excellents rapports avec vous. J’ai été tout simplement stupéfait d’apprendre de très bonne source que vous vous opposez systématiquement à ma présence aux cérémonies officielles parce que j’aurais combattu (SMS). Quelle aberration ! Quelle forfaiture ! Au plan de l’éthique qui accompagne le haut fonctionnaire vous n’êtes plus digne à la tête du protocole d’Etat.
Me Mbaye Jacques Diop rappelle à Bruno Diatta qu’il a officié sous les magistères de Senghor et Diouf et après… Sans état d’âme vous avez enfilé le même manteau sous Wade… très à l’aise vous vous sentez bien aujourd’hui dans les habits d’un Fourcher sénégalais et vous osez porter un jugement de valeur sur mes choix et combats politiques.
Je suis profondément affligé non pas par des gestes ou paroles vulgaires de subalterne, mais par ce masque hideux qui, si l’on en juge par vos attitudes et vos propos me concernant, cachent une nature qui est aux antipodes de ce que sont les valeurs sénégalaises. Je rappelle simplement que je ne sollicite rien, je demande que soient appliquées les dispositions du décret me conférant l’honorariat en ce qui concerne les cérémonies officielles de la République. A cette fin, je rends (SMS) destinataire, à titre de compte rendu, de la présente correspondance. »
Me Mbaye Jacques Diop rappelle à Bruno Diatta qu’il a officié sous les magistères de Senghor et Diouf et après… Sans état d’âme vous avez enfilé le même manteau sous Wade… très à l’aise vous vous sentez bien aujourd’hui dans les habits d’un Fourcher sénégalais et vous osez porter un jugement de valeur sur mes choix et combats politiques.
Je suis profondément affligé non pas par des gestes ou paroles vulgaires de subalterne, mais par ce masque hideux qui, si l’on en juge par vos attitudes et vos propos me concernant, cachent une nature qui est aux antipodes de ce que sont les valeurs sénégalaises. Je rappelle simplement que je ne sollicite rien, je demande que soient appliquées les dispositions du décret me conférant l’honorariat en ce qui concerne les cérémonies officielles de la République. A cette fin, je rends (SMS) destinataire, à titre de compte rendu, de la présente correspondance. »