« C’est un faux débat, le Sénégal est en avance sur beaucoup de pays développés dans la production de nos cartes d’identification et d’électeurs. Nous sommes le seul pays à avoir son fichier électoral sur le net », c’est ce qu’estime Me Ousmane Ngom qui visitait hier la Direction de l’automatisation du fichier (Daf). « Nous avons une demande de cartes nationales d’identité assez forte.
Nos équipements sont d’une capacité très importante qui est très loin au-delà de la demande. Une des machines peut produire à elle seule environ 30.000 cartes par jour, alors que nous en avons deux. Donc la Daf peut produire jusqu’à 60.000 cartes nationales d’identité par jour», a expliqué le ministre d’Etat. Qui poursuit : « Nous n’avons aucun souci par rapport à la production de cartes nationales d’identité. Et avant les prochaines échéances électorales, toutes les cartes nationales d’identité et les cartes d’électeurs seront confectionnées par la Daf».
A l’opposition qui, dans son dessein de dresser l’opinion contre le pouvoir, déclare que «cette rétention » n’est rien d’autre qu’une volonté de fraude électorale que le régime libéral met en place en vue des prochaines élections, avançait qu’un million de cartes nationales d’identité de jeunes Sénégalais en âge de voter en 2012 dormirait dans les locaux du ministère de l’Intérieur », le ministre d’Etat, en charge de l’Intérieur qui visitait hier la Direction de l’automatisation du fichier (Daf) pour s’enquérir de l’état d’avancement de la confection des cartes nationales d’identité, exclut tout problème de confection de ces documents. Et tout en démentant de telles allégations, il a apporté des éléments d’éclairages. D’abord, recadre-t-il, environ 80.000 cartes nationales d’identité sont actuellement en souffrance dans les commissariats de police, les préfectures et sous-préfectures du pays. Loin du chiffre avancé par cette classe politique qu’il invite à sensibiliser les citoyens à aller retirer leurs cartes nationales d’identité et les cartes électeurs qui sont en souffrance dans les commissariats, les préfectures et sous-préfectures », a demandé le ministre de l’Intérieur. « Au moment où je vous parle, il y a environ 80.000 cartes nationales d’identité qui sont en souffrance dans les commissariats de police et des préfectures et sous-préfectures, elles ne sont pas retirées par leurs titulaires », a-t-il déclaré. Tout en les invitant à s’approcher de ces lieux pour retirer leurs documents. Secundo, révèle le ministre, les problèmes notés se trouvent en amont, c’est-à-dire au niveau des inscriptions et de la saisie des données transmises aux centres de tri.
Ibrahima DIAW
ibrahima.diaw@lemessager.info
Nos équipements sont d’une capacité très importante qui est très loin au-delà de la demande. Une des machines peut produire à elle seule environ 30.000 cartes par jour, alors que nous en avons deux. Donc la Daf peut produire jusqu’à 60.000 cartes nationales d’identité par jour», a expliqué le ministre d’Etat. Qui poursuit : « Nous n’avons aucun souci par rapport à la production de cartes nationales d’identité. Et avant les prochaines échéances électorales, toutes les cartes nationales d’identité et les cartes d’électeurs seront confectionnées par la Daf».
A l’opposition qui, dans son dessein de dresser l’opinion contre le pouvoir, déclare que «cette rétention » n’est rien d’autre qu’une volonté de fraude électorale que le régime libéral met en place en vue des prochaines élections, avançait qu’un million de cartes nationales d’identité de jeunes Sénégalais en âge de voter en 2012 dormirait dans les locaux du ministère de l’Intérieur », le ministre d’Etat, en charge de l’Intérieur qui visitait hier la Direction de l’automatisation du fichier (Daf) pour s’enquérir de l’état d’avancement de la confection des cartes nationales d’identité, exclut tout problème de confection de ces documents. Et tout en démentant de telles allégations, il a apporté des éléments d’éclairages. D’abord, recadre-t-il, environ 80.000 cartes nationales d’identité sont actuellement en souffrance dans les commissariats de police, les préfectures et sous-préfectures du pays. Loin du chiffre avancé par cette classe politique qu’il invite à sensibiliser les citoyens à aller retirer leurs cartes nationales d’identité et les cartes électeurs qui sont en souffrance dans les commissariats, les préfectures et sous-préfectures », a demandé le ministre de l’Intérieur. « Au moment où je vous parle, il y a environ 80.000 cartes nationales d’identité qui sont en souffrance dans les commissariats de police et des préfectures et sous-préfectures, elles ne sont pas retirées par leurs titulaires », a-t-il déclaré. Tout en les invitant à s’approcher de ces lieux pour retirer leurs documents. Secundo, révèle le ministre, les problèmes notés se trouvent en amont, c’est-à-dire au niveau des inscriptions et de la saisie des données transmises aux centres de tri.
Ibrahima DIAW
ibrahima.diaw@lemessager.info