«Le chef de l’état s’appuie sur deux atouts : Il a d’abord consulté de façon officieuse le conseil constitutionnel, seul apte à juger de la recevabilité des candidatures et a trouvé matière à se défendre ». Mieux, le journal Panafricain, écrit « Au cas où il ne voudrait pas prendre le risque d’interroger officiellement ledit conseil, wade peut demander à sa majorité parlementaire d’interpréter les articles 27 et 104 sur lesquels s’opposent ses partisans et ses adversaires. La décision du parlement aura valeur de loi et s’imposera aux juges du conseil constitutionnel. » Une chose qui ne va surement pas plaire à Idrissa Seck, l’opposition et la société civile selon le journaliste sénégalais Yérim Seck auteur de l’article.
Macky Sall et Idrissa Seck : Equation pour Wade !!
Aujourd’hui le président wade ne tient pas à affronter dans les urnes et Macky Sall, ancien numéro deux du pds et candidat à la présidentielle et Idrissa Seck qui bénéficie d’un électorat captif dans son fief de Thies, le deuxième réservoir de voix du pays. La preuve selon le journal Jeune Afrique, le « capitaine » 84 ans sait que ses chances sont minimes.
Sékou Dianko DIATTA politicosn.com
Macky Sall et Idrissa Seck : Equation pour Wade !!
Aujourd’hui le président wade ne tient pas à affronter dans les urnes et Macky Sall, ancien numéro deux du pds et candidat à la présidentielle et Idrissa Seck qui bénéficie d’un électorat captif dans son fief de Thies, le deuxième réservoir de voix du pays. La preuve selon le journal Jeune Afrique, le « capitaine » 84 ans sait que ses chances sont minimes.
Sékou Dianko DIATTA politicosn.com