Face au soutien presque unanime de tous les candidats malheureux et le début d’une nouvelle vague de ralliements à Macky Sall -la tranhsumance d’Adama Sall-, les libéraux ont décidé de passer à l’offensive avec, à la clef, un débauchage des responsables locaux de ces dits candidats. La cartographie des résultats du premier tour du scrutin du 26 février dernier, ayant été minutieusement étudiée, le pouvoir sortant compte ainsi mettre les moyens en conséquence en direction de ces “porteurs de voix” et "leaders d’opinion".
Et les responsables ciblés, ces porteurs de voix, se comptent plus parmi plusieurs responsables socialistes et ceux de l’Alliance des forces de progrès (Afp) de Moustpaha qui auraient déjà été approchés et "travaillés". Une stratégie qui, selon les libéraux qui semblent y croire dur comme fer, pourrait être payante. Ce qui les galvanise et leur redonne du moral tout en réduisant les effets de leur traumatisme après le ballotage défavorable qui s’annonce pour le second tour.
Plus extrême comme option dans cette stratégie : c’est la mise à l’écart de Karim Wade, évoquée, et dont la présence est vue comme un facteur bloquant. Mais c’est une décision jugée toutefois tardive par beaucoup d’observateurs ; et elle pourrait avoir l’effet contraire, c’est à dire un effet négatif. Mieux, son père ne serait pas d’accord.
Une carte Karim Wade vue en tout comme un symbole de la dévolution dynastique, puisqu’on sait d’avance que, si par miracle, Me Wade venait à conserver le pouvoir, il ne pourrait que lui passer le témoin. C’est en tout cette donne là que Macky Sall compte jouer à fond et utiliser pour le second tour, afin de demander aux électeurs de ne pas voter Wade qui "normalement" ne devrait même pas participer à l’élection, d’un point de vue constitutionnel, pour être fidèle au combat du M 23.
Source:nettali.net
Et les responsables ciblés, ces porteurs de voix, se comptent plus parmi plusieurs responsables socialistes et ceux de l’Alliance des forces de progrès (Afp) de Moustpaha qui auraient déjà été approchés et "travaillés". Une stratégie qui, selon les libéraux qui semblent y croire dur comme fer, pourrait être payante. Ce qui les galvanise et leur redonne du moral tout en réduisant les effets de leur traumatisme après le ballotage défavorable qui s’annonce pour le second tour.
Plus extrême comme option dans cette stratégie : c’est la mise à l’écart de Karim Wade, évoquée, et dont la présence est vue comme un facteur bloquant. Mais c’est une décision jugée toutefois tardive par beaucoup d’observateurs ; et elle pourrait avoir l’effet contraire, c’est à dire un effet négatif. Mieux, son père ne serait pas d’accord.
Une carte Karim Wade vue en tout comme un symbole de la dévolution dynastique, puisqu’on sait d’avance que, si par miracle, Me Wade venait à conserver le pouvoir, il ne pourrait que lui passer le témoin. C’est en tout cette donne là que Macky Sall compte jouer à fond et utiliser pour le second tour, afin de demander aux électeurs de ne pas voter Wade qui "normalement" ne devrait même pas participer à l’élection, d’un point de vue constitutionnel, pour être fidèle au combat du M 23.
Source:nettali.net