La réaction du ministre de la Sante et de l’Action sociale sur la circulation des 400 médicaments cancérigènes était, particulièrement, attendue. Abdoulaye Diouf Sarr n’y est pas allé par quatre chemins. Il a démenti cette information rapportée par le président de l’Association de la Promotion de la médicine Traditionnelle (Prometra). Pourtant Dr Eric Gbodoussou a affirmé qu’il détient une liste de 400 médicaments cancérigènes, qui circulent au Sénégal.
« Le Sénégal est un pays sérieux, qui se situe dans un dispositif global de gestion et de surveillance de la santé, il est léger d’affirmer des choses de la sorte », a fustigé le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr.
Sur d’éventuelles mesures à prendre suite à la sortie du Dr. Gboudoussou, le ministre a estimé que c’est au concerné d’apporter les éléments de preuves de sa déclaration. « En tant qu'Etat que nous sommes, celui-ci a un niveau de responsabilité qui ne nous permet pas véritablement d’aborder la question sous cet angle », a-t-il justifie.
« Le Sénégal est un pays sérieux, qui se situe dans un dispositif global de gestion et de surveillance de la santé, il est léger d’affirmer des choses de la sorte », a fustigé le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr.
Sur d’éventuelles mesures à prendre suite à la sortie du Dr. Gboudoussou, le ministre a estimé que c’est au concerné d’apporter les éléments de preuves de sa déclaration. « En tant qu'Etat que nous sommes, celui-ci a un niveau de responsabilité qui ne nous permet pas véritablement d’aborder la question sous cet angle », a-t-il justifie.