Créateur du "Zoblazo", un style musical inspiré des rythmes folkloriques du sud de la Côte d'Ivoire, Meiway est un artiste indéboulonnable. De 1989 à nos jours, il a réussi à tenir le flambeau haut et à rester dans l'actualité musicale.
Au Sénégal, pour animer la soirée caritative organisée par la styliste Emma Adjovi, il a soutenu que "le "mbalakh" est une des plus belles musiques d'Afrique. Seulement, même si les musiciens Sénégalais sont connus et appréciés en dehors du Sénégal, ils pourraient faire bien mieux. Il y a un travail à faire par les Sénégalais eux-mêmes, il faut qu'ils apprennent à écouter les autres. Ainsi, ils pourraient aller au-delà de ce qu'ils font. Mais si cela reste sectaire, ça reste sénégalais, et si au-delà du "mbalakh", on n'écoute pas les autres, forcément ça tourne en rond", analyse-t-il.
S'appuyant sur son expérience personnelle, il soutient que "c'est à force d'écouter les autres que nous sommes arrivés à vendre notre musique hors des frontières ivoiriennes. En écoutant les autres, vous arrivez à trouver des voies et moyens pour imposer votre musique", conseille-t-il ainsi.
Parlant de la musique africaine, Meiway affirme qu'elle se porte bien. "De plus en plus, elle gagne de la place sur l'échiquier international. Il y a les petits nés en Europe qui font ce qu'ils appellent "l'afro trap". On note un retour vers les origines, c'est au bénéfice de l'Afrique". Sa philosophie, explique-t-il est qu'il faut essayer de se maintenir. et selon lui, "il faut toujours se remettre en question pour se maintenir. Il faut écouter tout le monde, s'en inspirer, cela fait grandir, c'est ce que je fais". Et pour lui, c'est cette ouverture musicale qui manque à ses pairs sénégalais.
source: enquête
Au Sénégal, pour animer la soirée caritative organisée par la styliste Emma Adjovi, il a soutenu que "le "mbalakh" est une des plus belles musiques d'Afrique. Seulement, même si les musiciens Sénégalais sont connus et appréciés en dehors du Sénégal, ils pourraient faire bien mieux. Il y a un travail à faire par les Sénégalais eux-mêmes, il faut qu'ils apprennent à écouter les autres. Ainsi, ils pourraient aller au-delà de ce qu'ils font. Mais si cela reste sectaire, ça reste sénégalais, et si au-delà du "mbalakh", on n'écoute pas les autres, forcément ça tourne en rond", analyse-t-il.
S'appuyant sur son expérience personnelle, il soutient que "c'est à force d'écouter les autres que nous sommes arrivés à vendre notre musique hors des frontières ivoiriennes. En écoutant les autres, vous arrivez à trouver des voies et moyens pour imposer votre musique", conseille-t-il ainsi.
Parlant de la musique africaine, Meiway affirme qu'elle se porte bien. "De plus en plus, elle gagne de la place sur l'échiquier international. Il y a les petits nés en Europe qui font ce qu'ils appellent "l'afro trap". On note un retour vers les origines, c'est au bénéfice de l'Afrique". Sa philosophie, explique-t-il est qu'il faut essayer de se maintenir. et selon lui, "il faut toujours se remettre en question pour se maintenir. Il faut écouter tout le monde, s'en inspirer, cela fait grandir, c'est ce que je fais". Et pour lui, c'est cette ouverture musicale qui manque à ses pairs sénégalais.
source: enquête