L’Argentine va sans doute devoir décrocher sa qualification pour le Mondial 2018 en Russie sans sa star Lionel Messi, suspendu quatre matches pour avoir insulté l’un des arbitres assistants lors de la victoire face au Chili (1-0). Une absence qui s’est déjà faite ressentir avec la défaite concédée mardi par l’Albiceleste en Bolivie (2-0), qui relègue la sélection d’Edgardo Bauzi en position de barragiste au classement de la zone AmSud.
Mais la sévérité de la sanction infligée au meilleur joueur du monde, en a surpris plus d’un. Pour ne pas dire choqué… A l’image d’un José Luis Chilavert, l’ex-capitaine du Paraguay, qui n’hésite pas à accuser la Fédération internationale de football (Fifa). Pour l’ancien gardien strasbourgeois, s’exprimant sur les ondes de la radio La Red, "cette décision est une vendetta de la Fifa contre l’Argentine", dirigée contre ses dirigeants, et "Messi en paie les conséquences." « La Pulga » serait avant tout la victime collatérale d’une décision politique.
Maradona ne trouve rien à redire
Chilavert va même plus loin en désignant Gianni Infantino, le patron de la Fifa, comme étant directement à l’origine de ce qu’il juge comme étant une injustice flagrante: "Le corrompu, c’est Infantino", clame-t-il.
Et de s’étonner, pour mieux appuyer son propos, du silence de Diego Maradona, proche d’Infantino: "Où est Maradona pour défendre le meilleur joueur du monde ?". Une réaction d’« El Pibe de oro » qui est intervenue et qui, loin de s’indigner, ne trouve rien à redire.
"J'ai été la personne la plus sanctionnée par la Fifa pour mon comportement. Mais Lionel Messi a insulté l'arbitre, nous l'avons tous vu. C'est aussi arrivé à Zlatan Ibrahimovic", a-t-il commenté dans l’émission Animales Sueltos. La Fédération argentine de football (AFA) a fait appel de la sanction.
Football.fr
Mais la sévérité de la sanction infligée au meilleur joueur du monde, en a surpris plus d’un. Pour ne pas dire choqué… A l’image d’un José Luis Chilavert, l’ex-capitaine du Paraguay, qui n’hésite pas à accuser la Fédération internationale de football (Fifa). Pour l’ancien gardien strasbourgeois, s’exprimant sur les ondes de la radio La Red, "cette décision est une vendetta de la Fifa contre l’Argentine", dirigée contre ses dirigeants, et "Messi en paie les conséquences." « La Pulga » serait avant tout la victime collatérale d’une décision politique.
Maradona ne trouve rien à redire
Chilavert va même plus loin en désignant Gianni Infantino, le patron de la Fifa, comme étant directement à l’origine de ce qu’il juge comme étant une injustice flagrante: "Le corrompu, c’est Infantino", clame-t-il.
Et de s’étonner, pour mieux appuyer son propos, du silence de Diego Maradona, proche d’Infantino: "Où est Maradona pour défendre le meilleur joueur du monde ?". Une réaction d’« El Pibe de oro » qui est intervenue et qui, loin de s’indigner, ne trouve rien à redire.
"J'ai été la personne la plus sanctionnée par la Fifa pour mon comportement. Mais Lionel Messi a insulté l'arbitre, nous l'avons tous vu. C'est aussi arrivé à Zlatan Ibrahimovic", a-t-il commenté dans l’émission Animales Sueltos. La Fédération argentine de football (AFA) a fait appel de la sanction.
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