La conséquence d’une telle volonté a tout son pesant d’or dans cette Maxime de Groucho Marx un célèbre comédien new yorkais : « je n’accepterai jamais d’être membre dans un club qui m’accepte comme membre. »
De telles remarques jugées agaçantes, par certains caciques de l’APR sont contestables du point de vue politique, mais discutable tout simplement en démocratie.
Car quel que soit le camp où on est situé (pouvoir ou opposition), il incombe aux politiques d’exposer les problèmes majeurs du peuple à chaque fois que l’occasion se présente.
C’est une nécessité, une vocation même pour le politique car une démocratie est consolidée par un ensemble de facteurs dont, la contradiction et les débats d’idées dans un cadre républicain.
Les saillies d’Idrissa Séck et la sortie médiatique au vitriol du directeur de cabinet du président de la république, contre ce derniers sont symptomatiques de cette classe politique obsolète, figée qui peine à regarder dans le rétroviseur, d’apprendre sur les erreurs commises dans le passé, de refuser de voir les séquelles laissées aux sénégalais des duels fratricides dans le passé.
La priorité est de régler le problème de la demande sociale, venir à bout des coupures d’électricité intempestives, lutter contre le chômage des jeunes et l’insécurité grandissante, restructurer les institutions, rompre avec ces pratiques aux antipodes de la bonne gouvernance et de la démocratie.
D’ailleurs, qu’est-ce que les sénégalais ont appris des dissensions, qui sont le résultat d’une conspiration politique dans le but d’évincer l’actuel Président de la République du perchoir de l’Assemblée nationale, par le camp libéral pour des raisons crypto-personnels ?
A part la déréglementation de nos institutions, les plus importantes pour un pays, des citoyens virés non pas pour faute grave dans l’exercice de leur fonction, mais pour une peccadille : une loyauté affichée à Macky Sall.
Souvenons-nous-en ! Les fameux chantiers de Thiès, pendant deux ans, la police et la justice instrumentalisée pour régler des comptes personnels au final de cet épisode l’inspection générale d’Etat (l’IGE), qui était en service commandé de la présidence est décrédibilisée, publiquement pour raisons politico-politiciennes.
Et l’histoire devra se répéter, les signes prémonitoires d’une division sont de plus en plus visibles. Le débat de personne a repris la place sur le débat d’idées, de programmes politiques et de gouvernance.
L’offre politique sur laquelle les sénégalais se sont appuyés pour jeter leur dévolu sur le candidat « Bénno Bokk Yaakaar » n’est plus exempte de reproche.
Le débat niais entre l’APR et REWMI, et le mutisme complice des autres alliés du président sont autant d’éléments révélateurs d’une continuité politique plongeant les sénégalais dans la dérision.
KHADIM LY
KHADIMLY@LIVE.FR
De telles remarques jugées agaçantes, par certains caciques de l’APR sont contestables du point de vue politique, mais discutable tout simplement en démocratie.
Car quel que soit le camp où on est situé (pouvoir ou opposition), il incombe aux politiques d’exposer les problèmes majeurs du peuple à chaque fois que l’occasion se présente.
C’est une nécessité, une vocation même pour le politique car une démocratie est consolidée par un ensemble de facteurs dont, la contradiction et les débats d’idées dans un cadre républicain.
Les saillies d’Idrissa Séck et la sortie médiatique au vitriol du directeur de cabinet du président de la république, contre ce derniers sont symptomatiques de cette classe politique obsolète, figée qui peine à regarder dans le rétroviseur, d’apprendre sur les erreurs commises dans le passé, de refuser de voir les séquelles laissées aux sénégalais des duels fratricides dans le passé.
La priorité est de régler le problème de la demande sociale, venir à bout des coupures d’électricité intempestives, lutter contre le chômage des jeunes et l’insécurité grandissante, restructurer les institutions, rompre avec ces pratiques aux antipodes de la bonne gouvernance et de la démocratie.
D’ailleurs, qu’est-ce que les sénégalais ont appris des dissensions, qui sont le résultat d’une conspiration politique dans le but d’évincer l’actuel Président de la République du perchoir de l’Assemblée nationale, par le camp libéral pour des raisons crypto-personnels ?
A part la déréglementation de nos institutions, les plus importantes pour un pays, des citoyens virés non pas pour faute grave dans l’exercice de leur fonction, mais pour une peccadille : une loyauté affichée à Macky Sall.
Souvenons-nous-en ! Les fameux chantiers de Thiès, pendant deux ans, la police et la justice instrumentalisée pour régler des comptes personnels au final de cet épisode l’inspection générale d’Etat (l’IGE), qui était en service commandé de la présidence est décrédibilisée, publiquement pour raisons politico-politiciennes.
Et l’histoire devra se répéter, les signes prémonitoires d’une division sont de plus en plus visibles. Le débat de personne a repris la place sur le débat d’idées, de programmes politiques et de gouvernance.
L’offre politique sur laquelle les sénégalais se sont appuyés pour jeter leur dévolu sur le candidat « Bénno Bokk Yaakaar » n’est plus exempte de reproche.
Le débat niais entre l’APR et REWMI, et le mutisme complice des autres alliés du président sont autant d’éléments révélateurs d’une continuité politique plongeant les sénégalais dans la dérision.
KHADIM LY
KHADIMLY@LIVE.FR