Avec Abdoulaye Wade à sa tête, notre pays, en tant que République a été défiguré et transformé en un club, entre les mains d’aristocrates en tout genre. Le pays sous leur direction, ils se sont taillé outrancièrement tous les privilèges au détriment du reste du peuple sénégalais, depuis une décennie au moins. Et de fil en aiguille, avec la gouvernance empirique de Me Wade, notre pays le Sénégal, sortait sans en avoir l’air, du cadre d’une République normée dans le fond, parce que la forme de celle-ci y était maintenue.
Les dernières révélations de la presse, lèvent un petit peu, un coin du voile qui masquait toutes ces magouilles dans le passé, que Wade couvrait sur la base d’un accord tacite avec les intéressés. Abdoulaye Wade, au lieu de gérer de façon vertueuse les ressources du pays qu’on lui avait confiées, non, il s’est évertué au contraire à accorder à tour de bras des privilèges indécents, avec leur caractère inique et immoral, à certaines catégories de fonctionnaires de l’Etat. Le tout, dans une opacité et une discrimination inacceptable, qui frise d’ailleurs, un deal au sommet de l’Etat, d’un commun accord des gens d’en haut, pour ne pas dire, un complot contre notre peuple. Ces révélations ont donné de l’urticaire et réveillé des crises de nerfs, qui étaient endormies auprès de certains de nos magistrats. Certains d’entre eux, ont parait-il, eu le culot de proférer des menaces de représailles contre l’Etat. En réalité, c’est plutôt contre leur peuple car, c’est à lui qu’ils ont pris de l’argent illégalement, par des voies détournées. Ici, c’est plutôt l’amendement qui sied de leur part. Mais tout cela, c’est du bluff et du chantage à l’endroit du ministre de la Justice, pour l’empêcher uniquement d’aller jusqu’au bout de ses réformes salutaires et de rétablir la légalité républicaine! Il est parfaitement clair dans le cas d’espèce, que ces pratiques qui s’assimilent à un vol qualifié organisé, divorcent avec le fonctionnement normal de la République dans son acceptation. Et comme le dit si bien Victor Hugo : « La République affirme le droit et impose le devoir » Ceci semble être le cadet des soucis de ces gens-là.
On peut bien affirmer avec force présentement, et, au fur et à mesure que nous avançons dans le temps, avec les découvertes inattendues que s’adjugent nos magistrats et autres, que véritablement, notre pays et son patrimoine ont été gérés par l’ex-président de la République et ses proches collaborateurs, à leur convenance personnelle. Il n’est plus actuellement, un secret pour personne, que ces gens, d’un genre particulier, se sont servi indécemment, de leur position dans la République, pour la piller systématiquement. Mais, ils n’ont malheureusement pa, servi la République, comme le devoir leur en fait obligation. Leur absence de patriotisme est ici manifeste et se traduit de façon éloquente, par leur gestion peu vertueuse des affaires publiques. Ainsi que d’ailleurs, leur attitude peu catholique qui montre le peu de souci qu’ils ont vis-à-vis du patrimoine de l’Etat, qui nous est commun à tous. Ces aristocrates comme on le voit, sont très éloignés de cette définition de Saint Just, du Patriote, qui dit ceci : « Un patriote est celui qui soutient la République en masse ; quiconque le combat en détail est un traitre. » Chez nous, les tenants du pouvoir la dépouille, sans état d’âme.
Notre pays, sans que le citoyen lambda le sache, est gangrené ou empoisonné par le phénomène des Fonds en général. Qu’il s’agisse de fonds secret, politique, commun, de dotation, etc., tout cela est organisé sous la couverture de l’Etat et avec la connivence du responsable le plus haut placé. Ce qui est dramatique dans notre pays et peut être spécifique, nos dirigeants, au plus haut sommet de la République, sont des initiés à la corruption et aux pratiques indécentes d’enrichissement illicite. Notre Etat, est celui dont, ses dirigeants sont allergiques à tout ce qui est transparence. Et ils travaillent tous par conséquent, dans l’opacité et la nébulosité pour ce qui concerne les affaires publiques. Certes, il y a eu des prémices et des antécédents dans les régimes précédents, mais, Abdoulaye Wade les a multipliés, en aggravant ainsi la situation, au point d’en faire un véritable système de gouvernance, en fin de compte. C’est ainsi que nous sommes entrés de pleins pieds dans la République des privilèges, avec Me Wade. Après le départ du régime libéral, dont la nature était congénitalement liée à de telles pratiques, il nous faudra à présent revenir absolument à la République fondamentale. Ce qui exige alors, de rompre de manière radicale sans possibilité de retour avec tout ce qui s’apparente aux pratiques immorales citées plus haut, dont certains de nos fonctionnaires et agents de l’Etat sont des adeptes.
Pour commencer, il faut procéder à la refondation sans tarder de nos institutions sur des bases républicaines, en s’inspirant des conclusions des Assises nationales dans ce domaine. Ce qui implique nécessairement, la participation effective du citoyen au début et à la fin du processus. Et, le tout, fondé sur l’équité et la transparence. A cet effet, la République des privilèges doit absolument disparaitre de notre pays avec toutes ses pratiques nauséabondes, dans les plus brefs délais, pour céder la place à celle des droits et devoirs des citoyens.
Le monde n’étant pas statique comme la vie l’est aussi, il est nécessaire parfois d’opérer des mutations et des réformes approfondies, pour éliminer les cellules mortes, les tares et autres pratiques désuètes de la société, du fait de leur usure ou décadence. Ce qui se passe actuellement avec nos Institutions, reflète tout à fait ce que François R. Chateaubriand dit ici : « Les institutions passent par trois étapes : celle des services, celle des privilèges et celle des abus. » au Sénégal, nos institutions sont tout à fait dans la 3e étape, précisément celle des abus. Voilà pourquoi, sans hésitation, les autorités actuelles de notre pays, doivent s’armer d’une ferme volonté, de la détermination inébranlable et irrévocable, pour faire face à l’inacceptable d’où qu’elle vienne. Si elles comptent sauvegarder les intérêts supérieurs du peuple sénégalais, elles doivent travailler d’arrache-pied, pour mettre fin à toute cette magouille organisée, qui n’est rien d’autre qu’une forme bien élaborée, d’un enrichissement illicite, d’une aristocratie, sans foi ni loi.
La République du Sénégal est en fait, prise en otage par un club d’aristocrates, composé de politiques, de marabouts, de financiers, de hauts fonctionnaires de l’Etat, etc., assis à sa tête et qui s’aménage tous les privilèges, même les plus fous, qui leur passent à l’esprit. A propos de cette catégorie d’aristocrates toutes tendances confondues, qui constitue un genre plutôt nuisible qu’utile à la société, je vous prête encore l’analyse de François R. Chateaubriand : « L’aristocratie a trois âges successifs : l’âge des supériorités, l’âge des privilèges et de la vanité. Sortie du premier, elle dégénère dans le second et s’éteint dans le dernier. » Et voilà que ces riches artificiels grâce au coup de main de Me Wade et, par la voie d’enrichissement illicite, narguent maintenant le peuple sénégalais. Ceci, après avoir pillé de manière éhontée les ressources de la République. Il est utile de dire à toutes ces autorités-là, qu’elles doivent savoir que le rang ne doit conférer ni privilège, ni pouvoir. Mais il impose la responsabilité.
Notre pays est à la croisée des chemins depuis le 25 mars 2012, pour rétablir la République sur ses principes fondamentaux, de respect et d’égalité de tous les citoyens, devant la loi et le patrimoine commun. La profondeur de l’abîme des dégâts causée par Abdoulaye Wade est telle aujourd’hui, qu’il nous faut nous doter d’Institutions fortes et crédibles, avec des animateurs tout aussi crédibles mais surtout vertueux en plus, qui fonctionneront sur la base de lois républicaines, de règlements admis, parce que, examinés et votés par une représentation nationale bien élue souverainement, mais aussi capable de procéder à toutes les ruptures souhaitées et voulues par le peuple sénégalais. Le nettoyage des écuries d’Augias de Me Wade est évidemment un préalable et une nécessité absolue, dont le pouvoir actuel ne pourrait et ne devrait en aucune façon, se soustraire, s’il veut répondre effectivement à l’attente des Sénégalais dans leur grande majorité.
Naturellement, il Faudra remettre toutes les pendules à l’heure, à tous les niveaux et dans tous les domaines de l’Administration générale et du pays en général. La Fonction publique doit redevenir le centre névralgique ou le système nerveux qu’il fut, et qu’il n’aurait jamais dû cesser d’être, une Administration générale, de qualité et républicaine.
Alors, oui pour les avantages liés aux fonctions et rendements effectifs, mais absolument non aux privilèges de quelque nature que ce soit. Un réexamen minutieux pour une réforme fondamentale de ces fameux fonds de toute nature, doit être soumis à l’Assemblée nationale et que le résultat qui en sera issu, soit porté à la connaissance des citoyens. Ils ont le droit de savoir. La rupture avec le passé de l’ancien régime corrompu de Me Wade, passe nécessairement par cette voie incontournable. Il est sûr et certain, que si Macky Sall respecte ses promesses sans vaciller, le soutien du peuple sénégalais lui sera assuré et garanti. Il en sera de même, tant qu’il s’engagera et demeurera aussi, dans la voie de rétablir l’ordre républicain, la justice sociale et de bannir l’impunité.
Alors, le pouvoir actuel et tout aussi bien nous autres citoyens, nous ne devons pas perdre de vue ou oublier que : « Le travail n’est pas un privilège, c’est un droit essentiel à la survie de l’Humanité, un partage fondamental de nos richesses. » nous dit, Denis Lefebvre.
A l’attention de ceux qui voudraient s’accrocher à leurs privilèges à tout prix, je leur rappelle qu’on ne s’insurge pas contre son peuple, surtout quand celui-ci, ne veut que reprendre son droit. Ceci devra être absolument entendu par tous les nostalgiques d’un passé récent, pour renoncer ou oublier définitivement, leurs privilèges illégaux.
Mandiaye Gaye
Gaye_mandiaye@hotmail.com
Les dernières révélations de la presse, lèvent un petit peu, un coin du voile qui masquait toutes ces magouilles dans le passé, que Wade couvrait sur la base d’un accord tacite avec les intéressés. Abdoulaye Wade, au lieu de gérer de façon vertueuse les ressources du pays qu’on lui avait confiées, non, il s’est évertué au contraire à accorder à tour de bras des privilèges indécents, avec leur caractère inique et immoral, à certaines catégories de fonctionnaires de l’Etat. Le tout, dans une opacité et une discrimination inacceptable, qui frise d’ailleurs, un deal au sommet de l’Etat, d’un commun accord des gens d’en haut, pour ne pas dire, un complot contre notre peuple. Ces révélations ont donné de l’urticaire et réveillé des crises de nerfs, qui étaient endormies auprès de certains de nos magistrats. Certains d’entre eux, ont parait-il, eu le culot de proférer des menaces de représailles contre l’Etat. En réalité, c’est plutôt contre leur peuple car, c’est à lui qu’ils ont pris de l’argent illégalement, par des voies détournées. Ici, c’est plutôt l’amendement qui sied de leur part. Mais tout cela, c’est du bluff et du chantage à l’endroit du ministre de la Justice, pour l’empêcher uniquement d’aller jusqu’au bout de ses réformes salutaires et de rétablir la légalité républicaine! Il est parfaitement clair dans le cas d’espèce, que ces pratiques qui s’assimilent à un vol qualifié organisé, divorcent avec le fonctionnement normal de la République dans son acceptation. Et comme le dit si bien Victor Hugo : « La République affirme le droit et impose le devoir » Ceci semble être le cadet des soucis de ces gens-là.
On peut bien affirmer avec force présentement, et, au fur et à mesure que nous avançons dans le temps, avec les découvertes inattendues que s’adjugent nos magistrats et autres, que véritablement, notre pays et son patrimoine ont été gérés par l’ex-président de la République et ses proches collaborateurs, à leur convenance personnelle. Il n’est plus actuellement, un secret pour personne, que ces gens, d’un genre particulier, se sont servi indécemment, de leur position dans la République, pour la piller systématiquement. Mais, ils n’ont malheureusement pa, servi la République, comme le devoir leur en fait obligation. Leur absence de patriotisme est ici manifeste et se traduit de façon éloquente, par leur gestion peu vertueuse des affaires publiques. Ainsi que d’ailleurs, leur attitude peu catholique qui montre le peu de souci qu’ils ont vis-à-vis du patrimoine de l’Etat, qui nous est commun à tous. Ces aristocrates comme on le voit, sont très éloignés de cette définition de Saint Just, du Patriote, qui dit ceci : « Un patriote est celui qui soutient la République en masse ; quiconque le combat en détail est un traitre. » Chez nous, les tenants du pouvoir la dépouille, sans état d’âme.
Notre pays, sans que le citoyen lambda le sache, est gangrené ou empoisonné par le phénomène des Fonds en général. Qu’il s’agisse de fonds secret, politique, commun, de dotation, etc., tout cela est organisé sous la couverture de l’Etat et avec la connivence du responsable le plus haut placé. Ce qui est dramatique dans notre pays et peut être spécifique, nos dirigeants, au plus haut sommet de la République, sont des initiés à la corruption et aux pratiques indécentes d’enrichissement illicite. Notre Etat, est celui dont, ses dirigeants sont allergiques à tout ce qui est transparence. Et ils travaillent tous par conséquent, dans l’opacité et la nébulosité pour ce qui concerne les affaires publiques. Certes, il y a eu des prémices et des antécédents dans les régimes précédents, mais, Abdoulaye Wade les a multipliés, en aggravant ainsi la situation, au point d’en faire un véritable système de gouvernance, en fin de compte. C’est ainsi que nous sommes entrés de pleins pieds dans la République des privilèges, avec Me Wade. Après le départ du régime libéral, dont la nature était congénitalement liée à de telles pratiques, il nous faudra à présent revenir absolument à la République fondamentale. Ce qui exige alors, de rompre de manière radicale sans possibilité de retour avec tout ce qui s’apparente aux pratiques immorales citées plus haut, dont certains de nos fonctionnaires et agents de l’Etat sont des adeptes.
Pour commencer, il faut procéder à la refondation sans tarder de nos institutions sur des bases républicaines, en s’inspirant des conclusions des Assises nationales dans ce domaine. Ce qui implique nécessairement, la participation effective du citoyen au début et à la fin du processus. Et, le tout, fondé sur l’équité et la transparence. A cet effet, la République des privilèges doit absolument disparaitre de notre pays avec toutes ses pratiques nauséabondes, dans les plus brefs délais, pour céder la place à celle des droits et devoirs des citoyens.
Le monde n’étant pas statique comme la vie l’est aussi, il est nécessaire parfois d’opérer des mutations et des réformes approfondies, pour éliminer les cellules mortes, les tares et autres pratiques désuètes de la société, du fait de leur usure ou décadence. Ce qui se passe actuellement avec nos Institutions, reflète tout à fait ce que François R. Chateaubriand dit ici : « Les institutions passent par trois étapes : celle des services, celle des privilèges et celle des abus. » au Sénégal, nos institutions sont tout à fait dans la 3e étape, précisément celle des abus. Voilà pourquoi, sans hésitation, les autorités actuelles de notre pays, doivent s’armer d’une ferme volonté, de la détermination inébranlable et irrévocable, pour faire face à l’inacceptable d’où qu’elle vienne. Si elles comptent sauvegarder les intérêts supérieurs du peuple sénégalais, elles doivent travailler d’arrache-pied, pour mettre fin à toute cette magouille organisée, qui n’est rien d’autre qu’une forme bien élaborée, d’un enrichissement illicite, d’une aristocratie, sans foi ni loi.
La République du Sénégal est en fait, prise en otage par un club d’aristocrates, composé de politiques, de marabouts, de financiers, de hauts fonctionnaires de l’Etat, etc., assis à sa tête et qui s’aménage tous les privilèges, même les plus fous, qui leur passent à l’esprit. A propos de cette catégorie d’aristocrates toutes tendances confondues, qui constitue un genre plutôt nuisible qu’utile à la société, je vous prête encore l’analyse de François R. Chateaubriand : « L’aristocratie a trois âges successifs : l’âge des supériorités, l’âge des privilèges et de la vanité. Sortie du premier, elle dégénère dans le second et s’éteint dans le dernier. » Et voilà que ces riches artificiels grâce au coup de main de Me Wade et, par la voie d’enrichissement illicite, narguent maintenant le peuple sénégalais. Ceci, après avoir pillé de manière éhontée les ressources de la République. Il est utile de dire à toutes ces autorités-là, qu’elles doivent savoir que le rang ne doit conférer ni privilège, ni pouvoir. Mais il impose la responsabilité.
Notre pays est à la croisée des chemins depuis le 25 mars 2012, pour rétablir la République sur ses principes fondamentaux, de respect et d’égalité de tous les citoyens, devant la loi et le patrimoine commun. La profondeur de l’abîme des dégâts causée par Abdoulaye Wade est telle aujourd’hui, qu’il nous faut nous doter d’Institutions fortes et crédibles, avec des animateurs tout aussi crédibles mais surtout vertueux en plus, qui fonctionneront sur la base de lois républicaines, de règlements admis, parce que, examinés et votés par une représentation nationale bien élue souverainement, mais aussi capable de procéder à toutes les ruptures souhaitées et voulues par le peuple sénégalais. Le nettoyage des écuries d’Augias de Me Wade est évidemment un préalable et une nécessité absolue, dont le pouvoir actuel ne pourrait et ne devrait en aucune façon, se soustraire, s’il veut répondre effectivement à l’attente des Sénégalais dans leur grande majorité.
Naturellement, il Faudra remettre toutes les pendules à l’heure, à tous les niveaux et dans tous les domaines de l’Administration générale et du pays en général. La Fonction publique doit redevenir le centre névralgique ou le système nerveux qu’il fut, et qu’il n’aurait jamais dû cesser d’être, une Administration générale, de qualité et républicaine.
Alors, oui pour les avantages liés aux fonctions et rendements effectifs, mais absolument non aux privilèges de quelque nature que ce soit. Un réexamen minutieux pour une réforme fondamentale de ces fameux fonds de toute nature, doit être soumis à l’Assemblée nationale et que le résultat qui en sera issu, soit porté à la connaissance des citoyens. Ils ont le droit de savoir. La rupture avec le passé de l’ancien régime corrompu de Me Wade, passe nécessairement par cette voie incontournable. Il est sûr et certain, que si Macky Sall respecte ses promesses sans vaciller, le soutien du peuple sénégalais lui sera assuré et garanti. Il en sera de même, tant qu’il s’engagera et demeurera aussi, dans la voie de rétablir l’ordre républicain, la justice sociale et de bannir l’impunité.
Alors, le pouvoir actuel et tout aussi bien nous autres citoyens, nous ne devons pas perdre de vue ou oublier que : « Le travail n’est pas un privilège, c’est un droit essentiel à la survie de l’Humanité, un partage fondamental de nos richesses. » nous dit, Denis Lefebvre.
A l’attention de ceux qui voudraient s’accrocher à leurs privilèges à tout prix, je leur rappelle qu’on ne s’insurge pas contre son peuple, surtout quand celui-ci, ne veut que reprendre son droit. Ceci devra être absolument entendu par tous les nostalgiques d’un passé récent, pour renoncer ou oublier définitivement, leurs privilèges illégaux.
Mandiaye Gaye
Gaye_mandiaye@hotmail.com