L’avertissement est à prendre au sérieux. La coordination des étudiants de Saint-Louis restent plus que jamais engagée à continuer le combat pour que la lumière soit faite sur la mort de l’étudiant Fallou Séne. »Advienne que pourra » a martelé le président de séance de la Coordination des étudiants de Saint-Louis (Cels), Alioune Guèye, dans les colonnes du journal L’Observateur.
Les étudiants du Cels qui annoncent de nouvelles stratégies de lutte, demandent au Président Macky Sall de prendre ses responsabilités dans la gestion de ce dossier. « Depuis le début, le Président Sall ne fait qu’utiliser la même phrase pour s’exprimer sur la question, alors que dans ce cas de figure, c’est une situation flagrante, le gendarme ayant avoué. Pourquoi rien n’est fait ? Pourquoi rien ne bouge ? Pourquoi le dossier n’évolue pas ? Ce sont les questions que nous posons aux autorités en charge de la justice. Que le président de la République prenne ses responsabilités » avertit Alioune Guèye qui balaie d’un revers de mains les assurances du ministre de la Justice.
« je dirai que nous sommes dans un pays où le Gouvernement, y compris les ministres, ne mesure pas la sacralisation de la parole publique. Toutes ces paroles restent lettres mortes et le ministre de la Justice n’a pas fait ce que la communauté sénégalaise attendait de lui sur le dossier. La lumière, la justice, c’est tout ce que nous attendons tous de lui » a clamé le président de séance de la Coordination des étudiants de Saint-Louis sur les ondes du journal.
L’Observateur.
Les étudiants du Cels qui annoncent de nouvelles stratégies de lutte, demandent au Président Macky Sall de prendre ses responsabilités dans la gestion de ce dossier. « Depuis le début, le Président Sall ne fait qu’utiliser la même phrase pour s’exprimer sur la question, alors que dans ce cas de figure, c’est une situation flagrante, le gendarme ayant avoué. Pourquoi rien n’est fait ? Pourquoi rien ne bouge ? Pourquoi le dossier n’évolue pas ? Ce sont les questions que nous posons aux autorités en charge de la justice. Que le président de la République prenne ses responsabilités » avertit Alioune Guèye qui balaie d’un revers de mains les assurances du ministre de la Justice.
« je dirai que nous sommes dans un pays où le Gouvernement, y compris les ministres, ne mesure pas la sacralisation de la parole publique. Toutes ces paroles restent lettres mortes et le ministre de la Justice n’a pas fait ce que la communauté sénégalaise attendait de lui sur le dossier. La lumière, la justice, c’est tout ce que nous attendons tous de lui » a clamé le président de séance de la Coordination des étudiants de Saint-Louis sur les ondes du journal.
L’Observateur.