La condamnation de Juan Carlos Moreno, alias "El Larry", en tant qu'"auteur intellectuel" de cet assassinat est un fait rare dans ce pays, un des plus dangereux pour les journalistes. Plus de 100 y ont été tués depuis 2000, et 90% de ces affaires n'ont toujours pas été résolues.
Le parquet a estimé que Miroslava Breach, 54 ans, avait été tuée "avec préméditation" après avoir reçu des messages d'intimidation.
Il a ajouté qu'une sentence aussi lourde constituait un précédent pour les cas de crimes contre la liberté d'expression, soulignant que c'était la peine de prison la plus longue jamais infligée pour un tel acte.
Propuesta Civica, une ONG luttant pour les droits de l'homme et la liberté d'expression, a de son côté souligné que cette condamnation constituait "un important précédent dans le combat contre l'impunité pour les crimes visant des journalistes".
Miroslava Breach, qui travaillait pour les journaux La Jornada et Norte de Juarez, avait été retrouvée morte dans sa voiture avec des blessures par balle à la tête, le 23 mars 2017 dans l'Etat mexicain de Chihuahua.
AFP
Le parquet a estimé que Miroslava Breach, 54 ans, avait été tuée "avec préméditation" après avoir reçu des messages d'intimidation.
Il a ajouté qu'une sentence aussi lourde constituait un précédent pour les cas de crimes contre la liberté d'expression, soulignant que c'était la peine de prison la plus longue jamais infligée pour un tel acte.
Propuesta Civica, une ONG luttant pour les droits de l'homme et la liberté d'expression, a de son côté souligné que cette condamnation constituait "un important précédent dans le combat contre l'impunité pour les crimes visant des journalistes".
Miroslava Breach, qui travaillait pour les journaux La Jornada et Norte de Juarez, avait été retrouvée morte dans sa voiture avec des blessures par balle à la tête, le 23 mars 2017 dans l'Etat mexicain de Chihuahua.
AFP