Selon Abdourahim Kébé, ces jeunes qui meurent par centaines en bravant la mer en quête d’une vie meilleure, se sont simplement appropriés la dernière strophe de notre hymne national : La mort, oui ! Nous disons la mort, mais pas la honte.
“Négligés et déçus par une classe politique corrompue et sans éthique, voyant leur avenir hypothéqué par des dealers en l’absence de leaders, ces jeunes déboussolés, confinés dans le désespoir, la désillusion, et l’impuissance, n’ont malheureusement pas le choix”, déclare M. Kébé sur Facebook.
Pour lui, cette préférence de la mort à la vie est la marque de l’échec patent du régime, qui n’excelle que dans l’accaparement de nos ressources financières et matérielles au détriment des populations. Mieux, la solution à ce suicide collectif est entre les mains du gouvernement.
Senenews.com
“Négligés et déçus par une classe politique corrompue et sans éthique, voyant leur avenir hypothéqué par des dealers en l’absence de leaders, ces jeunes déboussolés, confinés dans le désespoir, la désillusion, et l’impuissance, n’ont malheureusement pas le choix”, déclare M. Kébé sur Facebook.
Pour lui, cette préférence de la mort à la vie est la marque de l’échec patent du régime, qui n’excelle que dans l’accaparement de nos ressources financières et matérielles au détriment des populations. Mieux, la solution à ce suicide collectif est entre les mains du gouvernement.
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