Les tentatives de stabiliser les jeunes à travers le développement agricole remontent à l'ère du président Abdoulaye Wade, avec des programmes tels que le Plan Reva (Retour vers l’agriculture) et la Grande Offensive pour l’Agriculture et l’Abondance (Goana). Ces initiatives cherchaient à encourager le retour aux champs, afin de dissuader les jeunes de prendre le chemin de l’exil.
Le président Macky Sall, quant à lui, avait également poursuivi cet élan en introduisant les Domaines agricoles communautaires (Dac). Toutefois, les résultats ont été en-deçà des attentes.
En parallèle, plusieurs structures visant à promouvoir l’emploi des jeunes ont vu le jour, telles que le Fonds national de promotion de la jeunesse (FNPJ), l’Agence nationale pour l’emploi des jeunes (ANEJ) et l’Office pour l’emploi des jeunes de la banlieue (OFEJBAN), initiatives qui ont été dissoutes après l’arrivée au pouvoir de Macky Sall en 2012, dans une logique de rationalisation des dépenses publiques. Par la suite, la Délégation à l’entrepreneuriat rapide (DER), a été créée pour soutenir la création d’emplois.
Le gouvernement actuel poursuit ainsi les actions contre une réalité qui, malgré les initiatives successives, demeure un défi majeur. En 2023, sous le mandat de l’ancien président Macky Sall, une stratégie nationale de lutte contre la migration irrégulière avait été adoptée à la suite du drame de Fass Boye Gandiole, où de nombreux jeunes périrent, en tentant de rejoindre l’Espagne.
Ce plan visait à renforcer les structures de promotion de l’entrepreneuriat, à créer des emplois et à intensifier la coopération internationale, tout en misant sur la sensibilisation.
Cependant, malgré ces diverses politiques et initiatives, la migration irrégulière continue d’alimenter la désolation au sein des familles, chaque année marquée par de nouvelles victimes sur les routes clandestines de l’exil.
Avec Sud Quotidien
Le président Macky Sall, quant à lui, avait également poursuivi cet élan en introduisant les Domaines agricoles communautaires (Dac). Toutefois, les résultats ont été en-deçà des attentes.
En parallèle, plusieurs structures visant à promouvoir l’emploi des jeunes ont vu le jour, telles que le Fonds national de promotion de la jeunesse (FNPJ), l’Agence nationale pour l’emploi des jeunes (ANEJ) et l’Office pour l’emploi des jeunes de la banlieue (OFEJBAN), initiatives qui ont été dissoutes après l’arrivée au pouvoir de Macky Sall en 2012, dans une logique de rationalisation des dépenses publiques. Par la suite, la Délégation à l’entrepreneuriat rapide (DER), a été créée pour soutenir la création d’emplois.
Le gouvernement actuel poursuit ainsi les actions contre une réalité qui, malgré les initiatives successives, demeure un défi majeur. En 2023, sous le mandat de l’ancien président Macky Sall, une stratégie nationale de lutte contre la migration irrégulière avait été adoptée à la suite du drame de Fass Boye Gandiole, où de nombreux jeunes périrent, en tentant de rejoindre l’Espagne.
Ce plan visait à renforcer les structures de promotion de l’entrepreneuriat, à créer des emplois et à intensifier la coopération internationale, tout en misant sur la sensibilisation.
Cependant, malgré ces diverses politiques et initiatives, la migration irrégulière continue d’alimenter la désolation au sein des familles, chaque année marquée par de nouvelles victimes sur les routes clandestines de l’exil.
Avec Sud Quotidien