Selon Aminata Touré, dès leur arrivée au pouvoir, « il a fallu aussitôt prendre en charge la campagne agricole, avec des inondations qui s’y sont greffées. La campagne s’est bien passée, c’était le baptême de feu. Il fallait trouver déjà trouver 39 milliards pour financer cette campagne. Le gouvernement précédent n’avait rien prévu et c’est comme s’il n y avait pas de paysans au Sénégal. On l’a menée à terme et vous n’avez pas entendu de paysan qui se soit plaint de n’avoir pas reçu de semences. Nous avons augmenté le prix au kilo. L’arachide s’est vendue jusqu’à 300 F dans certains coins et de mémoire de paysan, il n’y a pas eu d’aussi bonne campagne depuis très longtemps ».
Et pourtant, plaide la garde des Sceaux, « lorsque nous sommes arrivés, la situation économique n’était pas des plus reluisantes, puisqu’il y a eu plusieurs mois d’incertitudes, ce qui a plombé l’économie d’une manière générale. Il y a eu beaucoup de dépenses qui n’allaient pas dans le sens d’un renforcement de notre croissance. Et tout ça c’est un héritage extrêmement lourd », argumente Aminata Touré, qui précise qu’ils n’ont "pas beaucoup communiqué sur cela".
Nettali
Et pourtant, plaide la garde des Sceaux, « lorsque nous sommes arrivés, la situation économique n’était pas des plus reluisantes, puisqu’il y a eu plusieurs mois d’incertitudes, ce qui a plombé l’économie d’une manière générale. Il y a eu beaucoup de dépenses qui n’allaient pas dans le sens d’un renforcement de notre croissance. Et tout ça c’est un héritage extrêmement lourd », argumente Aminata Touré, qui précise qu’ils n’ont "pas beaucoup communiqué sur cela".
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