Comme beaucoup de stars avant elle, Mimi Mathy a vu sa vie passée au crible par Laurent Boyer. Dans l’émission Ma vie en Super 8, diffusée hier soir sur D8, l’héroïne de Joséphine Ange gardien s’est confiée sur son quotidien, ses joies et ses tracas. La comédienne en a profité pour faire part du snobisme dont elle est victime de la part d’une certaine presse féminine et qui la peine autant qu’elle l’énerve.
« C’est vrai que c’est très dur, de lutter contre les journaux féminins […]. Il y a une réticence quoi, constate-t-elle en préambule. Ce qu’il y a de très drôle, c’est que je n’ai jamais eu une couverture de Elle ou un papier dans Elle, alors qu’il y a eu un sondage dans Elle. Je le cite parce que je trouve que c’est un magazine qui est censé faire rêver, et moi je pense que je fais rêver. Je fais rêver beaucoup plus qu’un mannequin à qui personne ne peut s’identifier, dans le côté : "Elle, elle y est arrivé, donc on va y arriver. " »
Pour prouver ce snobisme dont elle serait, à son sens, victime, Mimie Mathy a poursuivi son récit : « Donc il y a un sondage dans Elle, il y a quelques années, pour élire la femme Elle. La première c’est Sœur Emmanuelle, la deuxième c’est moi ». Des résultats qui avaient conduit l’hebdomadaire à s’intéresser à la comédienne. A contre cœur selon cette dernière : « Bon, là ils ont été obligés de me faire un petit papier, mais c’est [elle fait mine d’avoir quelque chose de coincé dans la gorge]. »
Une mise à l’écart que Mimie Mathy attribue aux « préjugés » et au fait qu’elle ne serait, selon elle, « pas représentative de la classe de ces journaux là », ajoutant « c’est vrai qu’ils ont du mal ». Espérons que son message aura été entendu.
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