
Un scandale qui a été géré avec la plus grande légèreté par la tutelle. Alors qu’il était censé prendre la première décision, le Général Pathé Seck n’a rien trouvé de mieux à dire que de parler de "querelle fratricide". Seulement, signale La Tribune, l’annonce de son successeur, faite hier, en la personne de Abdoulaye Daouda Diallo, un cadre de l’Apr, est une autre insulte au renforcement de la démocratie, parce que foulant au pied les conclusions des Assises nationales qui voudraient que le ministre de l’Intérieur soit issu de la Société civile.