Selon Bes Bi qui relaie cette info, Omar Dramé et ses collègues se disent « très préoccupés par la situation des contractuels de la direction de l’Emploi, du ministère des Mines, du ministère de la Culture ainsi que des prestataires du ministère des Sports », qui « n’ont pas perçu leurs salaires depuis quatre mois ».
« Après trois mois sans salaires et en l’absence d’informations claires sur les raisons de ces retards, le collectif a interpellé l’autorité compétente. Celle-ci avait promis de régulariser la situation avant la fin du mois de juillet. Malheureusement, à ce jour, les agents attendent toujours le versement des montants dus, sans aucune visibilité sur les causes du blocage.
La même situation se retrouve chez les prestataires du ministère des Sports, qui sont restés trois mois sans rémunération. Pire encore, 44 travailleurs du ministère des Mines ont été informés de la suspension de leur contrat, créant une psychose massive parmi eux.
Et selon toujours le journal, cans le même ordre d’idées, des contractuels du ministère de la Culture ont également vu leurs contrats suspendus. Cette situation engendre de grandes difficultés pour les agents contractuels, tant sur le plan professionnel que personnel. Certains peinent à honorer leurs engagements financiers, tels que le loyer, le transport ou les besoins alimentaires, ce qui compromet l’accomplissement de leurs tâches quotidiennes ».
Le Ciaas demande à l'État de non seulement résoudre le problème des retards de salaires, mais aussi de régulariser et préserver tous les emplois suspendus. « Nous interpellons le Président de la République, garant de l’emploi pour tous les Sénégalais, qui a fait de la création d’emplois une priorité. Il est impératif de maintenir les emplois existants, même si nous reconnaissons que certaines dispositions réglementaires n’ont pas été respectées. En outre, pour résoudre de manière définitive la question récurrente des contractuels, nous recommandons au gouvernement de les intégrer dans la fonction publique ».
« Après trois mois sans salaires et en l’absence d’informations claires sur les raisons de ces retards, le collectif a interpellé l’autorité compétente. Celle-ci avait promis de régulariser la situation avant la fin du mois de juillet. Malheureusement, à ce jour, les agents attendent toujours le versement des montants dus, sans aucune visibilité sur les causes du blocage.
La même situation se retrouve chez les prestataires du ministère des Sports, qui sont restés trois mois sans rémunération. Pire encore, 44 travailleurs du ministère des Mines ont été informés de la suspension de leur contrat, créant une psychose massive parmi eux.
Et selon toujours le journal, cans le même ordre d’idées, des contractuels du ministère de la Culture ont également vu leurs contrats suspendus. Cette situation engendre de grandes difficultés pour les agents contractuels, tant sur le plan professionnel que personnel. Certains peinent à honorer leurs engagements financiers, tels que le loyer, le transport ou les besoins alimentaires, ce qui compromet l’accomplissement de leurs tâches quotidiennes ».
Le Ciaas demande à l'État de non seulement résoudre le problème des retards de salaires, mais aussi de régulariser et préserver tous les emplois suspendus. « Nous interpellons le Président de la République, garant de l’emploi pour tous les Sénégalais, qui a fait de la création d’emplois une priorité. Il est impératif de maintenir les emplois existants, même si nous reconnaissons que certaines dispositions réglementaires n’ont pas été respectées. En outre, pour résoudre de manière définitive la question récurrente des contractuels, nous recommandons au gouvernement de les intégrer dans la fonction publique ».