La CDS, autrefois prompte à applaudir les décisions liberticides de ce régime, se pare aujourd'hui d'un discours moralisateur, dénonçant les atteintes à la démocratie qu'elle a pourtant contribué à perpétuer. Elle feint de s’indigner des violations des droits et des libertés, mais où était-elle lorsque le peuple était piétiné et que les institutions étaient dévoyées à des fins personnelles ?
Le CPR Dooleel PIT-Sénégal rappelle que cette même CDS était complice des procès politiques visant à écarter des figures telles que Karim Wade et Khalifa Sall et qu'elle est restée muette lors du harcèlement et des violences infligées à Ousmane Sonko ou encore du blocus de Ziguinchor.
Loin d'incarner l'opposant vertueux qu'elle prétend être, la CDS s’est ralliée à un système économique inégalitaire, concentrant les richesses entre les mains d'une minorité proche du pouvoir. Le prétendu « plan de relance de la gauche plurielle » n'est qu'une façade politique destinée à duper les Sénégalais. La gauche, par son soutien au Plan Sénégal Émergent (PSE), a trahi ses propres idéaux, en permettant l'enrichissement des multinationales au détriment du peuple, creusant ainsi davantage les inégalités.
Aujourd'hui, la CDS se permet de critiquer la gestion économique et sociale du pays, tout en oubliant qu'elle a été l'une des architectes des politiques néolibérales qui ont précarisé les travailleurs et plongé le Sénégal dans la dépendance des institutions financières internationales. Après avoir abandonné ses principes sous prétexte de pragmatisme politique, elle tente désormais de se refaire une image, mais sa responsabilité dans les dérives du passé ne peut être effacée par des manœuvres de communication.
Le CPR Dooleel PIT-Sénégal rappelle que la CDS ne peut en aucun cas être considérée comme une alternative crédible pour le peuple sénégalais. Son hypocrisie est manifeste et les Sénégalais n’oublieront pas son soutien aux pratiques oppressives du régime de Macky Sall. Si la CDS veut réellement contribuer au débat politique, elle doit d’abord faire son autocritique et assumer son rôle dans les dérives de ces dernières années.
Le CPR Dooleel PIT-Sénégal exhorte le nouveau régime à poursuivre résolument l’œuvre de redressement national, par le « jub, jubbal, jubbanti ». Le chemin reste long pour assainir nos institutions, éradiquer la corruption et rétablir la démocratie. Il est impératif que ce gouvernement continue à réformer en profondeur nos structures institutionnelles et à poser les bases d'une véritable démocratisation. Pour le CPR, il est clair que le Sénégal ne peut plus se permettre de retomber dans les travers du passé.
Le CPR Dooleel PIT-Sénégal rappelle que cette même CDS était complice des procès politiques visant à écarter des figures telles que Karim Wade et Khalifa Sall et qu'elle est restée muette lors du harcèlement et des violences infligées à Ousmane Sonko ou encore du blocus de Ziguinchor.
Loin d'incarner l'opposant vertueux qu'elle prétend être, la CDS s’est ralliée à un système économique inégalitaire, concentrant les richesses entre les mains d'une minorité proche du pouvoir. Le prétendu « plan de relance de la gauche plurielle » n'est qu'une façade politique destinée à duper les Sénégalais. La gauche, par son soutien au Plan Sénégal Émergent (PSE), a trahi ses propres idéaux, en permettant l'enrichissement des multinationales au détriment du peuple, creusant ainsi davantage les inégalités.
Aujourd'hui, la CDS se permet de critiquer la gestion économique et sociale du pays, tout en oubliant qu'elle a été l'une des architectes des politiques néolibérales qui ont précarisé les travailleurs et plongé le Sénégal dans la dépendance des institutions financières internationales. Après avoir abandonné ses principes sous prétexte de pragmatisme politique, elle tente désormais de se refaire une image, mais sa responsabilité dans les dérives du passé ne peut être effacée par des manœuvres de communication.
Le CPR Dooleel PIT-Sénégal rappelle que la CDS ne peut en aucun cas être considérée comme une alternative crédible pour le peuple sénégalais. Son hypocrisie est manifeste et les Sénégalais n’oublieront pas son soutien aux pratiques oppressives du régime de Macky Sall. Si la CDS veut réellement contribuer au débat politique, elle doit d’abord faire son autocritique et assumer son rôle dans les dérives de ces dernières années.
Le CPR Dooleel PIT-Sénégal exhorte le nouveau régime à poursuivre résolument l’œuvre de redressement national, par le « jub, jubbal, jubbanti ». Le chemin reste long pour assainir nos institutions, éradiquer la corruption et rétablir la démocratie. Il est impératif que ce gouvernement continue à réformer en profondeur nos structures institutionnelles et à poser les bases d'une véritable démocratisation. Pour le CPR, il est clair que le Sénégal ne peut plus se permettre de retomber dans les travers du passé.