Vingt-trois balais, noirceur d'ébène, yeux clairs en forme de billes, regard épais et doux palais d'ou s'échappent des mots légers qui caressent comme une plume, la nymphe est née et a grandi à Bongré. Entre deux éclats de rire, la prude aux chichis confidentiels grandit entre la rigueur d'un papa professeur d'anglais,"Qui s'est toujours donné à font pour que ses enfants réussissent", et la tendresse d'une maman couturière."C'est elle qui m'a transmis le gout de la mode et des podiums. J'ai une éducation pas du tout sévère, parce que mes parents sont simples et pas tellement stricts, mais ils ont beaucoup investi pour mes études. Depuis les études primaires jusqu'aux études secondaires, ils m'ont bien encadrée", souffle-telle dans L'Observateur .
Après des études élémentaires au Village d'enfants SOS de Kaolack, Ndèye Marie s'est inscrite aux cours privés Jaraaf Ndaw ou elle a eu son Bac série L'1 avec mention "Passable" en 2010. Aujourd'hui elle est inscrite en 2e année de Droit des affaires à l'université Dakar Bourguiba (UDB) et ambitionne d’être plus tard conseillère juridique ou travailler au service contentieux d'une structure financière.
A ses heures la jeune gazelle de Kaolack se shoote aux sonorités du rap made in Galsen(comprenez le rap sénégalais) et aime déstresser en faisant du vélo ou en taquinant parfois les motocyclettes. La nouvelle miss Humanitaire, qui raffole de "domoda"(riz blanc avec de la sauce de tomate et de farine), ambitionne de se marier si jamais l'occasion se présente, mais préfère pour l'instant entourer sa vie amoureuse d'un voile de mystère. Comme pour confirmer l'adage: "Pour vivre heureux, vivons cachés" Soit!
Après des études élémentaires au Village d'enfants SOS de Kaolack, Ndèye Marie s'est inscrite aux cours privés Jaraaf Ndaw ou elle a eu son Bac série L'1 avec mention "Passable" en 2010. Aujourd'hui elle est inscrite en 2e année de Droit des affaires à l'université Dakar Bourguiba (UDB) et ambitionne d’être plus tard conseillère juridique ou travailler au service contentieux d'une structure financière.
A ses heures la jeune gazelle de Kaolack se shoote aux sonorités du rap made in Galsen(comprenez le rap sénégalais) et aime déstresser en faisant du vélo ou en taquinant parfois les motocyclettes. La nouvelle miss Humanitaire, qui raffole de "domoda"(riz blanc avec de la sauce de tomate et de farine), ambitionne de se marier si jamais l'occasion se présente, mais préfère pour l'instant entourer sa vie amoureuse d'un voile de mystère. Comme pour confirmer l'adage: "Pour vivre heureux, vivons cachés" Soit!