Le candidat républicain Mitt Romney n'y a pas été de main morte. "Je ne veux pas suivre le chemin de l'Espagne", a-t-il dit lors d'un débat suivi par 70 millions d'Américains. Pour lui, les dépenses du gouvernement espagnol a conduit le pays à la crise.
L'info, relayée par les médias, a vivement été critiquée. En effet, si l'Espagne connait des problèmes économiques, ce n'est pas à cause de la politique mais bien de l'explosion de la bulle immobilière. Un "détail" que le candidat aurait simplement rayé de son discours. Ces propos ont peut-être séduit un électorat américain, mais ont surtout réussi à attirer la foudre du gouvernement Rajoy.
La vice-première-ministre Soraya Saenz de Santamaria a rapidement répliqué. "C'est de l'ignorance face à la réalité, mais surtout face au potentiel de l'économie espagnole." Et le ministre des Affaires étrangères Jose Manuel Garcia Margallo de rajouter: "Il est extrêmement regrettable que d'autres pays soient érigés en exemple alors que les faits sont biaisés."
Reste à savoir comment Mitt Romney va se prononcer aujourd'hui sur la politique étrangère, un discours très attendu.
L'info, relayée par les médias, a vivement été critiquée. En effet, si l'Espagne connait des problèmes économiques, ce n'est pas à cause de la politique mais bien de l'explosion de la bulle immobilière. Un "détail" que le candidat aurait simplement rayé de son discours. Ces propos ont peut-être séduit un électorat américain, mais ont surtout réussi à attirer la foudre du gouvernement Rajoy.
La vice-première-ministre Soraya Saenz de Santamaria a rapidement répliqué. "C'est de l'ignorance face à la réalité, mais surtout face au potentiel de l'économie espagnole." Et le ministre des Affaires étrangères Jose Manuel Garcia Margallo de rajouter: "Il est extrêmement regrettable que d'autres pays soient érigés en exemple alors que les faits sont biaisés."
Reste à savoir comment Mitt Romney va se prononcer aujourd'hui sur la politique étrangère, un discours très attendu.