Pour Alassane Ndoye, le Secrétaire général du Syndicat Des Transporteurs Routiers du Sénégal, « faire arrêter ses activités à un transporteur, pendant 2 mois, constitue un manque à gagner considérable. Nous respectons les décisions du président de la République, Macky Sall, ce qui est une obligation. Mais, à force de supporter notre inactivité, nous sommes financièrement à terre ».
Ce responsable qui répondait à nos confrères de "Sud Quotidien", se veut même plus clair : « Dans 48 heures, si les autorités ne réagissent pas, je donnerais l’ordre de rouvrir les gares routières…»
Même son de cloche chez Gora Khouma, le Secrétaire général de l'Union des Routiers du Sénégal.
Pour lui, « l’Etat doit aller au bout de la logique, en ouvrant les gares routières. Nous acteurs routiers, nous avons demandé la réouverture de toutes les gares routières, avec un transport vers toutes les directions. Mais, notre requête n’a jusqu’à présent pas eu un retour favorable. Si maintenan,t l’Etat dit que ceux qui souhaitent fêter la Korité en famille, peuvent avoir une autorisation, les paysans qui doivent préparer la période hivernale peuvent se mouvoir, que les enseignants doivent regagner les salles de classes, pourquoi interdire la circulation interurbaine ?».
Selon lui, l’idéal, c’est la réouverture des gares routières tout en imposant le respect des mesures-barrières. Il n’y a pas d’autres solutions.
Ce responsable qui répondait à nos confrères de "Sud Quotidien", se veut même plus clair : « Dans 48 heures, si les autorités ne réagissent pas, je donnerais l’ordre de rouvrir les gares routières…»
Même son de cloche chez Gora Khouma, le Secrétaire général de l'Union des Routiers du Sénégal.
Pour lui, « l’Etat doit aller au bout de la logique, en ouvrant les gares routières. Nous acteurs routiers, nous avons demandé la réouverture de toutes les gares routières, avec un transport vers toutes les directions. Mais, notre requête n’a jusqu’à présent pas eu un retour favorable. Si maintenan,t l’Etat dit que ceux qui souhaitent fêter la Korité en famille, peuvent avoir une autorisation, les paysans qui doivent préparer la période hivernale peuvent se mouvoir, que les enseignants doivent regagner les salles de classes, pourquoi interdire la circulation interurbaine ?».
Selon lui, l’idéal, c’est la réouverture des gares routières tout en imposant le respect des mesures-barrières. Il n’y a pas d’autres solutions.