La santé qui gît dans un état comateux cherche désespérément urgentiste. Modou Diagne Fada, le sera-t-il ? En tout cas, l’enfant de Darou Mousty trouve une maison de la "santé" en plein feu. Un secteur infesté par des grèves répétitives dues à la dette des hôpitaux estimée à 15 milliards que l’Etat doit payer, un personnel réclamant de meilleures conditions de travail. D’où la menace de grève brandie par l’intersyndicale ce 15 janvier au motif du non-respect du protocole d’accord signé en 2005.
Sidya Ndiaye et ses camarades de la Fédération générale des travailleurs du Sénégal (Fgts) ont fixé le deadline au 15 janvier pour le règlement de leurs revendications. Ce dernier avertit : « Les autorités seront responsables des morts dans les hôpitaux ». Une sommation à laquelle répond Diagne Fada par une promesse : « Nous sommes attachés à tous les syndicalistes et s’ils veulent discuter avec nous, nous sommes ouverts. Si leurs revendications sont légitimes nous serons partants pour trouver des solutions ». Le ministre poursuit : « nous sommes du côté de la vérité et de la responsabilité. Donc, nous ferons ce que nous pourrons ». A peine arrivé à son poste, le nouveau ministre de la Santé a du pain sur la planche…
Sidya Ndiaye et ses camarades de la Fédération générale des travailleurs du Sénégal (Fgts) ont fixé le deadline au 15 janvier pour le règlement de leurs revendications. Ce dernier avertit : « Les autorités seront responsables des morts dans les hôpitaux ». Une sommation à laquelle répond Diagne Fada par une promesse : « Nous sommes attachés à tous les syndicalistes et s’ils veulent discuter avec nous, nous sommes ouverts. Si leurs revendications sont légitimes nous serons partants pour trouver des solutions ». Le ministre poursuit : « nous sommes du côté de la vérité et de la responsabilité. Donc, nous ferons ce que nous pourrons ». A peine arrivé à son poste, le nouveau ministre de la Santé a du pain sur la planche…