La traite des personnes est une activité criminelle qui existe au Sénégal malgré les efforts consentis par l’Etat dans le programme de l’Organisation des Nations-Unies contre le crime et la drogue. C’est le constat triste fait par le Secrétaire permanent de la Cellule nationale de lutte contre la traite des personnes (Cnltp) au Ministère de la Justice.
Lors d’un atelier de planification qui se tient depuis à Saly, Mody Ndiaye a soutenu que « la lutte ne fait pas trop de bruit mais il y a régulièrement des réseaux qui sont démantèles, des victimes qui sont protégées et des poursuites qui sont engagées.
Malheureusement, ces poursuites sont très insidieuses, car aucun pays n’a trouve une solution définitive, mais les efforts poursuivis par l’Etat tendent à rendre plus difficile cette activité inhospitalière ».
Toutefois, dans l’ensemble, le bilan de la lutte contre cette pratique criminelle reste positif. Car, explique-t-il, des efforts considérables ont été faits pour arriver a un tel résultat. « Le bilan de la traite est globalement positif. On accepte que la traite existe mais les victimes sont protégées et secourues. C’est un travail de longue haleine. Il y a un réseau qui a été démantelé et qui exploitait des jeunes filles », a soutenu M. Ndiaye.
Le Secrétaire permanent de la Cellule nationale de lutte contre la traite des personnes au Ministère de la Justice, soutient que pour échapper à la vigilance des forces de l’ordre, il y a des personnes qui se cachent derrière la religion pour exploiter des jeunes à leur propre compte et amasser de l’argent.
« Il y a plusieurs autres formes, car vous avez des gens qui se cachent derrière le manteau de la religion pour exploiter des enfants. Au sud-est, il y a l’exploitation des jeunes femmes dans les zones minières, la servitude domestique. L’esclavage est toujours d’actualité dans le monde et notre pays n’y échappe pas », a-t-il ajouté.
Sur l’objectif de la rencontre, Mody Ndiaye estime que c’est un atelier de planification stratégique pour élaborer un plan d’action national de lutte contre la traite au Senegal pour les années 2021-2023.
L’As
Lors d’un atelier de planification qui se tient depuis à Saly, Mody Ndiaye a soutenu que « la lutte ne fait pas trop de bruit mais il y a régulièrement des réseaux qui sont démantèles, des victimes qui sont protégées et des poursuites qui sont engagées.
Malheureusement, ces poursuites sont très insidieuses, car aucun pays n’a trouve une solution définitive, mais les efforts poursuivis par l’Etat tendent à rendre plus difficile cette activité inhospitalière ».
Toutefois, dans l’ensemble, le bilan de la lutte contre cette pratique criminelle reste positif. Car, explique-t-il, des efforts considérables ont été faits pour arriver a un tel résultat. « Le bilan de la traite est globalement positif. On accepte que la traite existe mais les victimes sont protégées et secourues. C’est un travail de longue haleine. Il y a un réseau qui a été démantelé et qui exploitait des jeunes filles », a soutenu M. Ndiaye.
Le Secrétaire permanent de la Cellule nationale de lutte contre la traite des personnes au Ministère de la Justice, soutient que pour échapper à la vigilance des forces de l’ordre, il y a des personnes qui se cachent derrière la religion pour exploiter des jeunes à leur propre compte et amasser de l’argent.
« Il y a plusieurs autres formes, car vous avez des gens qui se cachent derrière le manteau de la religion pour exploiter des enfants. Au sud-est, il y a l’exploitation des jeunes femmes dans les zones minières, la servitude domestique. L’esclavage est toujours d’actualité dans le monde et notre pays n’y échappe pas », a-t-il ajouté.
Sur l’objectif de la rencontre, Mody Ndiaye estime que c’est un atelier de planification stratégique pour élaborer un plan d’action national de lutte contre la traite au Senegal pour les années 2021-2023.
L’As