Le vin est tiré, il faut le boire. C’est une hérésie que de vouloir faire porter le chapeau aux journalistes. Les archives sont là et sont des témoins irréfutables des propos tenus par l’écrivain Mody Niang. Il a voulu être un super héros comme Latif. Seulement Abdou Latif Coulibaly n’est pas Mody Niang. Coulibaly est un journaliste d’investigation, sérieux et crédible qui a un réseau d’informateurs solide. Il a toujours les moyens de justifier avec des documents comptables tout ce qu’il écrit dans ses bouquins. C’est pourquoi la division des investigations criminelles n’est jamais parvenue à le clouer au pilori. Par contre Mody, toujours habile à dénigrer les autres, tire ses sources à partir de publication de journaux alors qu’il peut arriver que la source du journaliste ne soit pas fiable. Ce serait vraiment intéressant que Mody Niang parvienne à prouver que Cheikh Amar, un homme intègre et travailleur infatigable, a bénéficié d’un marché de 26 milliards. A défaut de preuves, il n’a qu’à présenter ses excuses au directeur de TSE qui par un élan de magnanimité retirera certainement sa plainte. Et le débat sera clos.
Mody Niang, bien seul dans sa barqueNotre culture nous apprend qu’il faut toujours tourner 7 fois sa langue avant de parler. Les accusations de Mody Niang portées à l’encontre de Cheikh Amar sont infondées d’autant plus que l’homme a vite fait de dire que les journalistes lui ont attribué des propos qu’il n’a jamais tenus. Fuite en avant ou manque de responsabilité, il est clair que Mody Niang s’est montré en vrai poltron. Les beaux parleurs ont toujours peur de la prison.Rédigé par leral.net le Samedi 19 Septembre 2009 à 12:38 | | 27 commentaire(s)|
Ousseynou Massèrigne Guèye
Nouveau commentaire :
|
Les articles les plus consultés
Les articles les plus commentés de la semaine
|