
Dans un communiqué rendu public, hier, Mohamed Diallo, membre du cabinet politique de Mme Aminata Tall, présidente du Conseil économique, social et environnemental (Cese), responsable de l’Alliance pour la république (Apr) à Dakar-Plateau, s’est indigné des propos «discourtois, inappropriés et inutilement violents» de la jeune députée libérale, Fatou Thiam, lors de la Dpg du Premier ministre.
«Tout le monde s’accorde à reconnaître la hauteur de vue et d’esprit dont a fait montre le Premier ministre, Aminata Touré, qui a incontestablement réussi son grand oral. Très à l’aise et en verve, percutante et pertinente, elle a délivré avec brio les axes programmatiques d’une vision clairement affirmée et assumée, balisant ainsi la voie au ‘Yoonu yokute », a d’emblée déclaré Mohamed Diallo avant d’inviter la libérale à honorer la jeunesse et à «remuer la langue sept fois avant de parler».
«Par essence et par nature, cette jeunesse se caractérise par le respect, la pudeur et la retenue. Ce qui ne l’empêche aucunement de dire fermement et résolument ce qu’elle pense de la manière, des méthodes et des modalités de gouvernance qui lui sont proposées, puisqu’il en va de son avenir», a-t-il rappelé avant de faire la leçon à Fatou Thiam : «Il faut savoir raison garder. Débattre, oui, contester, oui. En toute liberté, avec détermination et fermeté, s’il le faut, mais, dans la courtoisie et le respect mutuel, partout et toujours».
Le Populaire
«Tout le monde s’accorde à reconnaître la hauteur de vue et d’esprit dont a fait montre le Premier ministre, Aminata Touré, qui a incontestablement réussi son grand oral. Très à l’aise et en verve, percutante et pertinente, elle a délivré avec brio les axes programmatiques d’une vision clairement affirmée et assumée, balisant ainsi la voie au ‘Yoonu yokute », a d’emblée déclaré Mohamed Diallo avant d’inviter la libérale à honorer la jeunesse et à «remuer la langue sept fois avant de parler».
«Par essence et par nature, cette jeunesse se caractérise par le respect, la pudeur et la retenue. Ce qui ne l’empêche aucunement de dire fermement et résolument ce qu’elle pense de la manière, des méthodes et des modalités de gouvernance qui lui sont proposées, puisqu’il en va de son avenir», a-t-il rappelé avant de faire la leçon à Fatou Thiam : «Il faut savoir raison garder. Débattre, oui, contester, oui. En toute liberté, avec détermination et fermeté, s’il le faut, mais, dans la courtoisie et le respect mutuel, partout et toujours».
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