‘’Je suis peiné de voir cette équipe, l’une des premières au Sénégal, mais aussi dans la sous-région, sombrer de la sorte’’, a dit Magassouba, parlant de la ‘’Vieille Dame’’, fondée en 1921, pendant la période coloniale. Pour la première fois, en 2010-2011, la JA a été reléguée en ligue 2 sénégalaise.
A la fin des années 1990 et au début des années 2000, la JA, sous le magistère d’Omar Seck, a gagné plusieurs titres nationaux et joué une demi-finale de Ligue africaine des champions, en 2004.
Mohamed Magassouba, actuel Directeur technique du football malien, anime à partir de lundi un séminaire de formation, à l’intention des entraîneurs sénégalais candidats à la licence B. Samedi, le technicien malien était au stade Demba Diop de Dakar, où l’équipe cadette malienne jouait un match amical international contre le Touré Kunda (2-3), une équipe sénégalaise.
Magassouba, appelé au chevet de la JA, qu’il a réussi à maintenir en ligue 1 en 2009 avant de repartir quelques mois plus tard, estime que ce n’est pas normal que ce club soit relégué en ligue 2. ‘’Les symboles ne doivent pas mourir’’, a-t-il affirmé.
‘’La JA, c’est un palmarès, mais aussi un symbole. Et, il ne doit pas disparaître’’, a-t-il insisté.
APS
A la fin des années 1990 et au début des années 2000, la JA, sous le magistère d’Omar Seck, a gagné plusieurs titres nationaux et joué une demi-finale de Ligue africaine des champions, en 2004.
Mohamed Magassouba, actuel Directeur technique du football malien, anime à partir de lundi un séminaire de formation, à l’intention des entraîneurs sénégalais candidats à la licence B. Samedi, le technicien malien était au stade Demba Diop de Dakar, où l’équipe cadette malienne jouait un match amical international contre le Touré Kunda (2-3), une équipe sénégalaise.
Magassouba, appelé au chevet de la JA, qu’il a réussi à maintenir en ligue 1 en 2009 avant de repartir quelques mois plus tard, estime que ce n’est pas normal que ce club soit relégué en ligue 2. ‘’Les symboles ne doivent pas mourir’’, a-t-il affirmé.
‘’La JA, c’est un palmarès, mais aussi un symbole. Et, il ne doit pas disparaître’’, a-t-il insisté.
APS