A en croire L’As, en plus de l’aspect compétitif, le concours permettra à ladite association, dirigée par Sophie Ndiaye, de réorganiser le secteur, tout en se dotant d’un siège fonctionnel, d’une académie qui prendra en charge le Cap-coiffure (diplôme exigé pour la pratique) et d’une mutuelle pour le financement de leurs activités