Au cours de son séjour, Monsieur Mendez se rendra à Laâyoune et effectuera une série de visites dans les prisons et hôpitaux psychiatriques du Royaume, notamment à Rabat, Salé, Casablanca, Meknès, et Skhirat-Témara.
Monsieur Mendez rencontrera également des représentants des autorités, du pouvoir judiciaire, de la société civile, de l'institution nationale des Droits de l'Homme, des agences des Nations-Unies, ainsi que des victimes et leurs familles.
Il est clair que Monsieur Mendez aura toute la liberté pour s’informer de la situation réelle dans certains établissements pénitentiaires, hôpitaux psychiatriques et centres de protection de l’enfance. Une liberté de déplacement et d’action réaffirmée par Monsieur Driss El Yazami, Président du Conseil Consultatif des Droits de l’Homme.
A noter que lors de sa visite dans les villes des provinces sahariennes, Monsieur Mendez aura égalementl’occasion de rencontrer la population locale et d’entendre en toute liberté leurs voix.
Cette visite, la première d’un haut représentant de l’ONU sur les questions des Droits de l’Homme dans un pays arabo-musulman, constitue un évènement historique pour le Maroc ainsi que la preuve irréfutable et irréfragable que le Royaume du Maroc a fait d’importantes avancées en la matière et qu’il n’a rien à se reprocher. Il ouvre grandes ses portes à toutes demandes sérieuses de missions d’information sur ce sujet.
Dernières en date, celles de Madame Kerry Kennedy et de sa succursale la « Robert Kennedy Foundation» et de deux militantes américaines des Droits de l’Homme.
Il est vrai, que si cette dame a pu s’entretenir librement et à huis clos avec des représentants de la population des provinces sahariennes, tout en effectuant ses déplacements en toute quiétude et sans escorte ou surveillance des autorités marocaines, il n’en a pas été de même dans les camps des séquestrés parqués comme des animaux à Tindouf depuis plus de 35 ans.
Sa visite à Rabouny a été déprogrammée et son séjour dans les camps de la honte, nettoyés pour la circonstance des opposants sahraouis, n’a pas excédé les 24h00.
Il est vrai que son rapport final sur sa visite dans la région avait déjà été rédigé par les experts algériens et qu’il était inutile de s’attarder dans cette région au rude climat et sans confort. Elle n’a même pas eu droit à un festin de viande de chameau et à la traditionnelle offrande de lait de chamelle et dattes. Une visite supersonique ! Le temps de prendre des photos souvenirs.
Alger étant plus appropriée pour percevoir son chèque de 140 millions de dollars et le confort ainsi que la nourriture plus appropriés. Quelques agréments lui ont été également fournis, je pense à l’alcool et la drogue, dont elle est une consommatrice assidue, comme tous les Kennedy d’ailleurs. Le jackpot ou le dinar-millions algérien en quelque sorte.
Cette petite parenthèse fermée, la mission de Monsieur Mendez, qui est d’un tout autre calibre et surtout reconnu sur le plan international par sa probité consiste à évaluer les améliorations et à identifier les défis à relever concernant la torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants, particulièrement en relation avec l’adoption de la nouvelle Constitution en juillet 2011 et le droit international.
Au terme de cette mission, il fera part de ses observations et recommandations préliminaires lors d’une conférence de presse qui se tiendra le 22 septembre 2012, à 15h00, à l’Hôtel Diwan McGallery et présentera son rapport final au Conseil des Droits de l’Homme en 2013.
Il y a lieu de signaler que cette mission du Rapporteur Spécial de l’ONU sur les Droits de l’Homme vient en préparation de la candidature du Royaume du Maroc pour intégrer le Conseil des Droits de l’Homme des Nations-Unies, et ce en remplacement de la Libye.
Enfin, on ne peut occulter le fait que des militantes américaines des Droits de l'Homme, Nancy Huff, Présidente de l'ONG américaine "Teach the Children International" et Kathryn Porter Cameron, Présidente du "Leadership Council for Human Rights" en visite très récemment dans les provinces sahariennes, ont affirmé que « le retour des sahraouis de Tindouf à la Mère-Patrie, le Maroc, parmi les leurs est devenu une nécessité pressante pour mettre un terme à leur souffrance. »
Elles ont pu rencontrer des notables, des chioukhs des tribus sahraouies ainsi que des militantes. Elles se sont enquises des réalisations économiques et sociales dans les villes des provinces sahariennes marocaines et discuter en toute liberté de la situation des Droits de l'Homme.
Pour ces militantes américaines, « le maintien des camps de Tindouf est une perte de temps, et il est temps de permettre aux Sahraouis de regagner leur patrie et de rejoindre les leurs et mis en exergue l'importance de l'autonomie comme expérience réussie dans plusieurs pays ». Une initiative qui permettra, selon leur déclaration, aux familles sahraouies de se réunir après des années de séparation et de vivre dans des conditions de dignité dans leur pays, le Maroc.
Enfin ; Madame Huff n’a pas manqué de fustiger les autorités militaires et sécuritaires algériennes ainsi que leurs larbins du polisario. Elle les accuse tout simplement d’être responsables de graves exactions contre la population des camps de Tindouf, de vols et de détournements des aides humanitaires internationales.
Des accusations fondées et observées lors de son long séjour dans ces mêmes camps en sa qualité de travailleur humanitaire.
Pour sa part, Madame Kathryn Porter Cameron a fait état de la préoccupation de la société américaine quant à la situation des Droits de l'Homme dans les camps de Tindouf.
A signaler que la délégation américaine a, selon un communiqué de l'ONG "Leadership Council for Human Rights", adressé une demande à se rendre aux camps de Tindouf en Algérie.
Une demande restée lettre morte et on comprend pourquoi. Ces deux dames, ne sont par Kerry Kennedy, une pauvre désœuvrée, vendable et achetable pour quelques pétrodollars pour assurer un moment son standing de vie ainsi que son approvisionnement en produits dopants et illicites.
En conclusion, le rapport sur les Droits de l’Homme au Maroc qui sera élaboré par Monsieur Mendez, et celui de Mesdames Huff et Porter, qu’elles soumettront au Congrès américain, à la Maison Blanche, au Département d'Etat et aux membres du Conseil de Sécurité de l'ONU, constitueront une cinglante réponse à la supercherie de Kerry Kennedy et de sa fondation. Une fondation non crédible et sans envergure aux plans international et américain.
En vous demandant de bien vouloir publier ce papier. Une réponse pas courriel à cette demande serait appréciée. Cordialement. Farid Mnebhi.
Monsieur Mendez rencontrera également des représentants des autorités, du pouvoir judiciaire, de la société civile, de l'institution nationale des Droits de l'Homme, des agences des Nations-Unies, ainsi que des victimes et leurs familles.
Il est clair que Monsieur Mendez aura toute la liberté pour s’informer de la situation réelle dans certains établissements pénitentiaires, hôpitaux psychiatriques et centres de protection de l’enfance. Une liberté de déplacement et d’action réaffirmée par Monsieur Driss El Yazami, Président du Conseil Consultatif des Droits de l’Homme.
A noter que lors de sa visite dans les villes des provinces sahariennes, Monsieur Mendez aura égalementl’occasion de rencontrer la population locale et d’entendre en toute liberté leurs voix.
Cette visite, la première d’un haut représentant de l’ONU sur les questions des Droits de l’Homme dans un pays arabo-musulman, constitue un évènement historique pour le Maroc ainsi que la preuve irréfutable et irréfragable que le Royaume du Maroc a fait d’importantes avancées en la matière et qu’il n’a rien à se reprocher. Il ouvre grandes ses portes à toutes demandes sérieuses de missions d’information sur ce sujet.
Dernières en date, celles de Madame Kerry Kennedy et de sa succursale la « Robert Kennedy Foundation» et de deux militantes américaines des Droits de l’Homme.
Il est vrai, que si cette dame a pu s’entretenir librement et à huis clos avec des représentants de la population des provinces sahariennes, tout en effectuant ses déplacements en toute quiétude et sans escorte ou surveillance des autorités marocaines, il n’en a pas été de même dans les camps des séquestrés parqués comme des animaux à Tindouf depuis plus de 35 ans.
Sa visite à Rabouny a été déprogrammée et son séjour dans les camps de la honte, nettoyés pour la circonstance des opposants sahraouis, n’a pas excédé les 24h00.
Il est vrai que son rapport final sur sa visite dans la région avait déjà été rédigé par les experts algériens et qu’il était inutile de s’attarder dans cette région au rude climat et sans confort. Elle n’a même pas eu droit à un festin de viande de chameau et à la traditionnelle offrande de lait de chamelle et dattes. Une visite supersonique ! Le temps de prendre des photos souvenirs.
Alger étant plus appropriée pour percevoir son chèque de 140 millions de dollars et le confort ainsi que la nourriture plus appropriés. Quelques agréments lui ont été également fournis, je pense à l’alcool et la drogue, dont elle est une consommatrice assidue, comme tous les Kennedy d’ailleurs. Le jackpot ou le dinar-millions algérien en quelque sorte.
Cette petite parenthèse fermée, la mission de Monsieur Mendez, qui est d’un tout autre calibre et surtout reconnu sur le plan international par sa probité consiste à évaluer les améliorations et à identifier les défis à relever concernant la torture et autres traitements cruels, inhumains ou dégradants, particulièrement en relation avec l’adoption de la nouvelle Constitution en juillet 2011 et le droit international.
Au terme de cette mission, il fera part de ses observations et recommandations préliminaires lors d’une conférence de presse qui se tiendra le 22 septembre 2012, à 15h00, à l’Hôtel Diwan McGallery et présentera son rapport final au Conseil des Droits de l’Homme en 2013.
Il y a lieu de signaler que cette mission du Rapporteur Spécial de l’ONU sur les Droits de l’Homme vient en préparation de la candidature du Royaume du Maroc pour intégrer le Conseil des Droits de l’Homme des Nations-Unies, et ce en remplacement de la Libye.
Enfin, on ne peut occulter le fait que des militantes américaines des Droits de l'Homme, Nancy Huff, Présidente de l'ONG américaine "Teach the Children International" et Kathryn Porter Cameron, Présidente du "Leadership Council for Human Rights" en visite très récemment dans les provinces sahariennes, ont affirmé que « le retour des sahraouis de Tindouf à la Mère-Patrie, le Maroc, parmi les leurs est devenu une nécessité pressante pour mettre un terme à leur souffrance. »
Elles ont pu rencontrer des notables, des chioukhs des tribus sahraouies ainsi que des militantes. Elles se sont enquises des réalisations économiques et sociales dans les villes des provinces sahariennes marocaines et discuter en toute liberté de la situation des Droits de l'Homme.
Pour ces militantes américaines, « le maintien des camps de Tindouf est une perte de temps, et il est temps de permettre aux Sahraouis de regagner leur patrie et de rejoindre les leurs et mis en exergue l'importance de l'autonomie comme expérience réussie dans plusieurs pays ». Une initiative qui permettra, selon leur déclaration, aux familles sahraouies de se réunir après des années de séparation et de vivre dans des conditions de dignité dans leur pays, le Maroc.
Enfin ; Madame Huff n’a pas manqué de fustiger les autorités militaires et sécuritaires algériennes ainsi que leurs larbins du polisario. Elle les accuse tout simplement d’être responsables de graves exactions contre la population des camps de Tindouf, de vols et de détournements des aides humanitaires internationales.
Des accusations fondées et observées lors de son long séjour dans ces mêmes camps en sa qualité de travailleur humanitaire.
Pour sa part, Madame Kathryn Porter Cameron a fait état de la préoccupation de la société américaine quant à la situation des Droits de l'Homme dans les camps de Tindouf.
A signaler que la délégation américaine a, selon un communiqué de l'ONG "Leadership Council for Human Rights", adressé une demande à se rendre aux camps de Tindouf en Algérie.
Une demande restée lettre morte et on comprend pourquoi. Ces deux dames, ne sont par Kerry Kennedy, une pauvre désœuvrée, vendable et achetable pour quelques pétrodollars pour assurer un moment son standing de vie ainsi que son approvisionnement en produits dopants et illicites.
En conclusion, le rapport sur les Droits de l’Homme au Maroc qui sera élaboré par Monsieur Mendez, et celui de Mesdames Huff et Porter, qu’elles soumettront au Congrès américain, à la Maison Blanche, au Département d'Etat et aux membres du Conseil de Sécurité de l'ONU, constitueront une cinglante réponse à la supercherie de Kerry Kennedy et de sa fondation. Une fondation non crédible et sans envergure aux plans international et américain.
En vous demandant de bien vouloir publier ce papier. Une réponse pas courriel à cette demande serait appréciée. Cordialement. Farid Mnebhi.