
L’emprunt de 150 milliards de francs Cfa au sein du Sénégal, ne devrait poser aucun problème si le climat des affaires, politique et social, était moins toxique. Mais aujourd’hui, une méfiance généralisée s’est installée, nourrie par une suspicion de fraude ou de supposé braquage de notre dette.
Un État a besoin de ses hommes d’affaires. Ils sont un maillon essentiel du développement économique. Promettre la fin des affaires dans un système libéral, c’est faire reculer de potentiels bailleurs locaux et créer un climat d’incertitude qui freine les investissements.
Lever 150 milliards au Sénégal, serait une formalité, si nos capitaines d’industrie et financiers ne se retrouvaient pas systématiquement en prison. Ce climat d’insécurité judiciaire fait peur aux investisseurs et ralentit considérablement l’économie.
Un État a besoin de ses hommes d’affaires. Ils sont un maillon essentiel du développement économique. Promettre la fin des affaires dans un système libéral, c’est faire reculer de potentiels bailleurs locaux et créer un climat d’incertitude qui freine les investissements.
Lever 150 milliards au Sénégal, serait une formalité, si nos capitaines d’industrie et financiers ne se retrouvaient pas systématiquement en prison. Ce climat d’insécurité judiciaire fait peur aux investisseurs et ralentit considérablement l’économie.