En attendant de sceller définitivement le sort de ce maudit monument, soi-disant de la Renaissance africaine,
libérez de grâce la voie publique venant de Ouakam, passant sous le pont pour rejoindre la corniche. Elle
est interdite illégalement à la circulation des usagers et ceci rien que par excès de pouvoir. Mais quel
inconvénient y a-t-il à emprunter cette voie publique qui, justement, était faite et prévue pour ce public ?
Et au nom de quoi, les citoyens libres d’aller et de venir dans leur pays, devrait-on leur créer des passages
interdits, surtout encore, sur une voie à grande circulation, simplement parce que celle-ci passe devant le
monument de Abdoulaye Wade ?
On oblige ainsi sans aucune raison valable les véhicules particuliers comme de transport en commun, à
faire des détours, uniquement pour ne pas s’approcher du tout, d’un monument qui du reste, ne devrait
même pas exister. Réellement, si son concepteur, chef de l’Etat de surcroit, avait tant soit peu, tenu compte
de l’état de pauvreté, dans lequel baigne son pays, jamais il n’aurait dû imaginer, à plus forte raison de
construire un tel monument avec sa laideur. Mais hélas ! Ce monument, exprime véritablement le mépris
et la provocation que Wade nourrit à l’égard du peuple sénégalais, qui, objectivement avait d’autres chats
à fouetter que d’ériger un bloc en bronze et je ne sais avec de quoi d’autre. A la place d’un monument,
dont l’inutilité et l’indécence sautent aux yeux, tant dans sa conception que, sa présentation, il y avait bien
d’autres priorités beaucoup plus urgentes. Cette statue monstrueuse manquant totalement d’esthétique,
est un échec avéré, pour celui qui cherchait à réaliser un chef-d’œuvre. Cette voie, qui est non seulement
publique, mais, elle a été aussi conçue et réalisée à l’origine, pour permettre de faciliter la fluidité et le
désengorgement de la circulation routière dans cette zone. Présentement, les passagers des véhicules de
transport en commun sont ainsi injustement, largués au diable et obligés de faire le reste du trajet à pied,
pour se rendre chez eux. Cette zone, qui devient un véritable carrefour de plusieurs cités a bien besoin de
voies de dégagement pour la mobilité de ses habitants. Il en est de même pour les éventuels visiteurs du
monument, qui sont eux également, obligés de faire une partie du trajet à pied, au lieu de venir jusqu’à son
pied.
Alors, non seulement ce maudit monument nous a coûté extrêmement cher, mais en plus, il est par-dessus
tout, inutile parce que fonctionnant à pertes sèches. Selon son administrateur Abdel Kader Fall sur Africa
24, le coût d’entretien seulement de celui-ci va de 50 à 75 millions de francs Cfa par mois. D’après toujours
monsieur Fall, le Capital de la « société » en charge du monument est de 200 millions francs Cfa dont 55%
sont détenus par l’Etat du Sénégal, 15% par la case des Tout-petits. Mais, M. Fall, vous oubliez de nous dire
que sont devenus les autres 30% complémentaires, et qui les détient réellement ? Ce n’est quand même pas
le diable, je suppose ? Il faut éclairer cette zone d’ombre, qui jalonne par ailleurs et traverse toute la gestion
calamiteuse de notre pays, par Abdoulaye Wade 12 ans durant. C’est là, tout le sens des audits que le peuple
sénégalais dans sa composante patriotique et honnête réclame de tous ses vœux, au nouveau président de
la République, démocratiquement élu. Abdel Kader Fall nous apprend par ce biais aussi, que le monument
de la « Renaissance » serait une société, ce que sans doute beaucoup d’entre nous ignoraient jusque-là.
Pourtant Abdoulaye Wade, le présumé propriétaire ou usurpateur du bien de l’Etat, parle lui, tantôt de sa
Fondation à lui et tantôt de Fondation de la Renaissance Africaine. Qu’en-est-il ?
C’est l’occasion de souligner ici, à l’attention des nouvelles autorités, qu’elles devraient le plus tôt possible
mettre fin définitivement, à cette méthode nébuleuse de gérer les deniers publics. Autrement dit, la rupture
totale avec les pratiques de l’ancien régime, ainsi que les incohérences de gestion approximative de Me
Wade. C’était l’évidence pour toutes les personnes qui sont dotées d’un esprit sain, rationnel ou de bon sens
simplement, loin d’être un économiste, que cette affaire ne pouvait pas générer un bénéfice quelconque,
seul bien entendu Abdoulaye Wade était d’un avis contraire. M. Fall confirme ainsi, de façon nette et
claire, que sur le plan économique, le monument ne rapporte pas encore d’argent. Pourtant nous nous en
souvenons encore tous, de l’argumentaire bétonné de Me Wade, avec des éloges dithyrambiques, nous
chantant les perspectives florissantes des futurs succès du monument. Ainsi, il disait au cours de sa visite du
site que concernant les retombées du monument : « Je suis l’auteur du monument. 35% de ses retombées
financières m’appartiendront et 65% à l’Etat. Cet ouvrage sera visité par des centaines de milliers de
touristes venus du monde entier et va générer des milliards de dollars. » Avec la démesure qui caractérise
l’homme, il n’y a rien d’étonnant à ces propos. Abdoulaye Wade est à la recherche perpétuelle de titres et
d’honneur, même immérités. Et en réclamant en tant qu’auteur la « propriété intellectuelle » il est dans sa
logique et confirme tout le mal qu’il incarne. Il voudrait cependant que « 35% de ses retombées financières
soient affectées au Programme de la case des tout-petits ». Mais n’est-elle pas actionnaire dans le Capital,
noud dit-on ? En s’appropriant personnellement les 35% des retombées financières de cette affaire, Me
Wade fait là un aveu de taille, on ne pouvait être plus clair, pour montrer à travers son attitude, une vue
de sa personnalité et son comportement cupide avec les biens de la Nation. Voilà pourquoi, les Sénégalais
ne devraient point s’étonner de constater qu’il a pillé et dépouillé notre pays durant les 12 ans qu’il est au
pouvoir, avant de partir honteusement.
A mon humble avis, l’absence d’audits sérieux et à fond de la gestion de Me Wade, serait une complicité
manifeste dans son entreprise de mise à mort de notre pays. Ce que les Sénégalais ne comprendraient pas.
Je me demande d’ailleurs, si M. Fall ne s’est pas trompé en confondant la clé de répartition du bénéfice à
réaliser à celle du capital de la supposée société. En tout cas les taux cités sont très proches de ceux du
bénéfice éventuel. Bref, ce n’est pas important !
Et à propos de cette nébuleuse société dont parle Kader Fall, ceci ne semble pas recouper avec l’idée
première de Me Wade relative à la gestion du monument. Me Wade, le propriétaire déclaré reconnaît
qu’une fondation de la Renaissance africaine est mise sur pied pour s’occuper des royalties. Cette structure,
Me Wade informe qu’elle sera gérée par son fils. « J’en suis le propriétaire intellectuel. Je vais créer
une fondation de la Renaissance africaine dont mon fils sera le président du conseil d’administration.
D’autres personnes en feront partie », a-t-il ajouté. Voilà ce qui est clair et qui est rapporté par la Gazette.
Alors on aimerait bien que M. Fall dise aux Sénégalais quelle est la dénomination de la société ? Où elle
a été immatriculée ? C’est quel genre ou forme de société commerciale? Qui sont ses actionnaires ? Et
quelles sont les personnes qui composent la direction, en dehors de vous comme administrateur ? Voilà
des questions intéressantes auxquelles les Sénégalais aimeraient avoir des réponses nettes et claires.
En attendant évidemment l’audit du monument qui nous éclaircira du comment et avec quel argent –
de provenance licite naturellement- il a été édifié. M. Fall affirme que le « monument n’a pas encore
véritablement atteint sa vitesse de croisière en termes d’exploitation », avoue-t-il. Il ajoute au passage que
pour le monument, le site « fonctionne à pertes » Mais dans ces conditions-là, qui assure alors la prise en
charge de son fonctionnement ? Est-ce que les salaires du personnel sont payés régulièrement, si oui par
qui ?
Sans aucun doute c’est bien Wade qui puise, de l’argent comme à son habitude quelque part dans le trésor
public, pour faire fonctionner son monument, mais au nom de quoi bon sang ? Quant au même moment,
il laisse d’autres travailleurs responsables de famille nageant dans des difficultés inextricable, qui œuvrent
pourtant utilement pour la communauté nationale comme par exemple : les travailleurs du nettoiement,
ceux de Dakar Dem Dikk, etc., sans salaires depuis des mois.
Revenons à l’interdiction aberrante de la circulation devant le monument. Mais pourquoi diantre, peut-
on permettre de circuler librement devant le Palais présidentiel et la Place de l’indépendance et non
devant ce monument qui n’intéresse pas du tout les Sénégalais dignes de ce nom ? Il faut que les autorités
compétentes lèvent cette interdiction inconcevable et libèrent les gendarmes et policiers en faction, pour
aller s’occuper de choses socialement plus importantes. Ils n’ont pas été recrutés, formés et payés pour
une tâche aussi ridicule, pour ne pas dire bête. Même un trésor, n’est pas autant sécurisé que ce maudit
monument des Wade. Alors aujourd’hui qu’il n’est plus que l’ombre de lui-même, il n’y a plus aucune raison
valable à maintenir cette mesure. J’ose espérer que les autorités compétentes ne feront pas la sourde oreille
face à cette situation ubuesque, mais entendront bien la complainte et les requêtes des populations, pour
lesquelles et au nom desquelles, elles doivent agir.
Gaye Mandiaye
Gaye_mandiaye@hotmail.com
libérez de grâce la voie publique venant de Ouakam, passant sous le pont pour rejoindre la corniche. Elle
est interdite illégalement à la circulation des usagers et ceci rien que par excès de pouvoir. Mais quel
inconvénient y a-t-il à emprunter cette voie publique qui, justement, était faite et prévue pour ce public ?
Et au nom de quoi, les citoyens libres d’aller et de venir dans leur pays, devrait-on leur créer des passages
interdits, surtout encore, sur une voie à grande circulation, simplement parce que celle-ci passe devant le
monument de Abdoulaye Wade ?
On oblige ainsi sans aucune raison valable les véhicules particuliers comme de transport en commun, à
faire des détours, uniquement pour ne pas s’approcher du tout, d’un monument qui du reste, ne devrait
même pas exister. Réellement, si son concepteur, chef de l’Etat de surcroit, avait tant soit peu, tenu compte
de l’état de pauvreté, dans lequel baigne son pays, jamais il n’aurait dû imaginer, à plus forte raison de
construire un tel monument avec sa laideur. Mais hélas ! Ce monument, exprime véritablement le mépris
et la provocation que Wade nourrit à l’égard du peuple sénégalais, qui, objectivement avait d’autres chats
à fouetter que d’ériger un bloc en bronze et je ne sais avec de quoi d’autre. A la place d’un monument,
dont l’inutilité et l’indécence sautent aux yeux, tant dans sa conception que, sa présentation, il y avait bien
d’autres priorités beaucoup plus urgentes. Cette statue monstrueuse manquant totalement d’esthétique,
est un échec avéré, pour celui qui cherchait à réaliser un chef-d’œuvre. Cette voie, qui est non seulement
publique, mais, elle a été aussi conçue et réalisée à l’origine, pour permettre de faciliter la fluidité et le
désengorgement de la circulation routière dans cette zone. Présentement, les passagers des véhicules de
transport en commun sont ainsi injustement, largués au diable et obligés de faire le reste du trajet à pied,
pour se rendre chez eux. Cette zone, qui devient un véritable carrefour de plusieurs cités a bien besoin de
voies de dégagement pour la mobilité de ses habitants. Il en est de même pour les éventuels visiteurs du
monument, qui sont eux également, obligés de faire une partie du trajet à pied, au lieu de venir jusqu’à son
pied.
Alors, non seulement ce maudit monument nous a coûté extrêmement cher, mais en plus, il est par-dessus
tout, inutile parce que fonctionnant à pertes sèches. Selon son administrateur Abdel Kader Fall sur Africa
24, le coût d’entretien seulement de celui-ci va de 50 à 75 millions de francs Cfa par mois. D’après toujours
monsieur Fall, le Capital de la « société » en charge du monument est de 200 millions francs Cfa dont 55%
sont détenus par l’Etat du Sénégal, 15% par la case des Tout-petits. Mais, M. Fall, vous oubliez de nous dire
que sont devenus les autres 30% complémentaires, et qui les détient réellement ? Ce n’est quand même pas
le diable, je suppose ? Il faut éclairer cette zone d’ombre, qui jalonne par ailleurs et traverse toute la gestion
calamiteuse de notre pays, par Abdoulaye Wade 12 ans durant. C’est là, tout le sens des audits que le peuple
sénégalais dans sa composante patriotique et honnête réclame de tous ses vœux, au nouveau président de
la République, démocratiquement élu. Abdel Kader Fall nous apprend par ce biais aussi, que le monument
de la « Renaissance » serait une société, ce que sans doute beaucoup d’entre nous ignoraient jusque-là.
Pourtant Abdoulaye Wade, le présumé propriétaire ou usurpateur du bien de l’Etat, parle lui, tantôt de sa
Fondation à lui et tantôt de Fondation de la Renaissance Africaine. Qu’en-est-il ?
C’est l’occasion de souligner ici, à l’attention des nouvelles autorités, qu’elles devraient le plus tôt possible
mettre fin définitivement, à cette méthode nébuleuse de gérer les deniers publics. Autrement dit, la rupture
totale avec les pratiques de l’ancien régime, ainsi que les incohérences de gestion approximative de Me
Wade. C’était l’évidence pour toutes les personnes qui sont dotées d’un esprit sain, rationnel ou de bon sens
simplement, loin d’être un économiste, que cette affaire ne pouvait pas générer un bénéfice quelconque,
seul bien entendu Abdoulaye Wade était d’un avis contraire. M. Fall confirme ainsi, de façon nette et
claire, que sur le plan économique, le monument ne rapporte pas encore d’argent. Pourtant nous nous en
souvenons encore tous, de l’argumentaire bétonné de Me Wade, avec des éloges dithyrambiques, nous
chantant les perspectives florissantes des futurs succès du monument. Ainsi, il disait au cours de sa visite du
site que concernant les retombées du monument : « Je suis l’auteur du monument. 35% de ses retombées
financières m’appartiendront et 65% à l’Etat. Cet ouvrage sera visité par des centaines de milliers de
touristes venus du monde entier et va générer des milliards de dollars. » Avec la démesure qui caractérise
l’homme, il n’y a rien d’étonnant à ces propos. Abdoulaye Wade est à la recherche perpétuelle de titres et
d’honneur, même immérités. Et en réclamant en tant qu’auteur la « propriété intellectuelle » il est dans sa
logique et confirme tout le mal qu’il incarne. Il voudrait cependant que « 35% de ses retombées financières
soient affectées au Programme de la case des tout-petits ». Mais n’est-elle pas actionnaire dans le Capital,
noud dit-on ? En s’appropriant personnellement les 35% des retombées financières de cette affaire, Me
Wade fait là un aveu de taille, on ne pouvait être plus clair, pour montrer à travers son attitude, une vue
de sa personnalité et son comportement cupide avec les biens de la Nation. Voilà pourquoi, les Sénégalais
ne devraient point s’étonner de constater qu’il a pillé et dépouillé notre pays durant les 12 ans qu’il est au
pouvoir, avant de partir honteusement.
A mon humble avis, l’absence d’audits sérieux et à fond de la gestion de Me Wade, serait une complicité
manifeste dans son entreprise de mise à mort de notre pays. Ce que les Sénégalais ne comprendraient pas.
Je me demande d’ailleurs, si M. Fall ne s’est pas trompé en confondant la clé de répartition du bénéfice à
réaliser à celle du capital de la supposée société. En tout cas les taux cités sont très proches de ceux du
bénéfice éventuel. Bref, ce n’est pas important !
Et à propos de cette nébuleuse société dont parle Kader Fall, ceci ne semble pas recouper avec l’idée
première de Me Wade relative à la gestion du monument. Me Wade, le propriétaire déclaré reconnaît
qu’une fondation de la Renaissance africaine est mise sur pied pour s’occuper des royalties. Cette structure,
Me Wade informe qu’elle sera gérée par son fils. « J’en suis le propriétaire intellectuel. Je vais créer
une fondation de la Renaissance africaine dont mon fils sera le président du conseil d’administration.
D’autres personnes en feront partie », a-t-il ajouté. Voilà ce qui est clair et qui est rapporté par la Gazette.
Alors on aimerait bien que M. Fall dise aux Sénégalais quelle est la dénomination de la société ? Où elle
a été immatriculée ? C’est quel genre ou forme de société commerciale? Qui sont ses actionnaires ? Et
quelles sont les personnes qui composent la direction, en dehors de vous comme administrateur ? Voilà
des questions intéressantes auxquelles les Sénégalais aimeraient avoir des réponses nettes et claires.
En attendant évidemment l’audit du monument qui nous éclaircira du comment et avec quel argent –
de provenance licite naturellement- il a été édifié. M. Fall affirme que le « monument n’a pas encore
véritablement atteint sa vitesse de croisière en termes d’exploitation », avoue-t-il. Il ajoute au passage que
pour le monument, le site « fonctionne à pertes » Mais dans ces conditions-là, qui assure alors la prise en
charge de son fonctionnement ? Est-ce que les salaires du personnel sont payés régulièrement, si oui par
qui ?
Sans aucun doute c’est bien Wade qui puise, de l’argent comme à son habitude quelque part dans le trésor
public, pour faire fonctionner son monument, mais au nom de quoi bon sang ? Quant au même moment,
il laisse d’autres travailleurs responsables de famille nageant dans des difficultés inextricable, qui œuvrent
pourtant utilement pour la communauté nationale comme par exemple : les travailleurs du nettoiement,
ceux de Dakar Dem Dikk, etc., sans salaires depuis des mois.
Revenons à l’interdiction aberrante de la circulation devant le monument. Mais pourquoi diantre, peut-
on permettre de circuler librement devant le Palais présidentiel et la Place de l’indépendance et non
devant ce monument qui n’intéresse pas du tout les Sénégalais dignes de ce nom ? Il faut que les autorités
compétentes lèvent cette interdiction inconcevable et libèrent les gendarmes et policiers en faction, pour
aller s’occuper de choses socialement plus importantes. Ils n’ont pas été recrutés, formés et payés pour
une tâche aussi ridicule, pour ne pas dire bête. Même un trésor, n’est pas autant sécurisé que ce maudit
monument des Wade. Alors aujourd’hui qu’il n’est plus que l’ombre de lui-même, il n’y a plus aucune raison
valable à maintenir cette mesure. J’ose espérer que les autorités compétentes ne feront pas la sourde oreille
face à cette situation ubuesque, mais entendront bien la complainte et les requêtes des populations, pour
lesquelles et au nom desquelles, elles doivent agir.
Gaye Mandiaye
Gaye_mandiaye@hotmail.com