Mor Ngom a saisi l'occasion pour inviter les politiques a éviter de faire de la question de la pénurie d'eau, un fonds politique. Selon lui, les querelles doivent être mises de côté. Ce qui doit prévaloir, c'est le sursaut national.
Néanmoins, il admet la gravité de la situation. "Les problèmes nous les avons toujours vécus. Mais à force de les repousser et de les renvoyer, nous en sommes aujourd'hui à ce que je peux appeler un désastre national", a-t-il dit selon L'Observateur.
Néanmoins, il admet la gravité de la situation. "Les problèmes nous les avons toujours vécus. Mais à force de les repousser et de les renvoyer, nous en sommes aujourd'hui à ce que je peux appeler un désastre national", a-t-il dit selon L'Observateur.





