"Il faut, d'abord, faire le distinguo entre art et Art. Et là, je ne parle pas de l'art, avec un petit « a » que tout le monde utilise comme bon lui semble. Si, véritablement, l'artiste respecte son métier, je ne vois pas pourquoi il ne va pas bénéficier des retombées. Digua ci lek xaliss, am ci téranga. Je dis que donner de l'importance à ce que l'on fait peut ouvrir les portes du succès. Je vous le dis parce qu'aujourd'hui l'art m'a tout donné. Si je n'étais pas artiste, je n'aurais pas eu de femme (...). Je n'allais pas, non plus, pouvoir assurer la dépense quotidienne et bien d'autres choses. Et c'est le lieu de remercier encore Youssou Ndour qui nous paie mensuellement et très bien...", témoigne-t-il.
A nos confrères qui lui demandent comment il a atterri à la Tfm, Doyen confie : "Nous participons, mon ami Per bou Khar et moi, chaque année au Festival du rire de Guédel Mbodj à Kaolack. A la 7e édition, Youssou Ndour était l'invité d'honneur de la cérémonie. Il n'était pas venu, mais s'est fait représenter par Me Diop. C'est cette édition qui nous a vraiment dévoilés, car j'ai fait avec Per une prestation spectaculaire. Et comme la Télévision future média était en stade de maturation, Youssou Ndour, par l'intermédiaire de Me Diop, nous a recommandés. Ainsi après le Fest'rire, nous nous sommes rendus à Louga où nous sommes bien connus. C'est ainsi qu'après deux mois, nous sommes venus à Dakar. Depuis lors, Alhamdoulilah, nous rendons grâce à Allah".
A nos confrères qui lui demandent comment il a atterri à la Tfm, Doyen confie : "Nous participons, mon ami Per bou Khar et moi, chaque année au Festival du rire de Guédel Mbodj à Kaolack. A la 7e édition, Youssou Ndour était l'invité d'honneur de la cérémonie. Il n'était pas venu, mais s'est fait représenter par Me Diop. C'est cette édition qui nous a vraiment dévoilés, car j'ai fait avec Per une prestation spectaculaire. Et comme la Télévision future média était en stade de maturation, Youssou Ndour, par l'intermédiaire de Me Diop, nous a recommandés. Ainsi après le Fest'rire, nous nous sommes rendus à Louga où nous sommes bien connus. C'est ainsi qu'après deux mois, nous sommes venus à Dakar. Depuis lors, Alhamdoulilah, nous rendons grâce à Allah".