La RADDHO demande la mise en place d’une "commission d’enquête indépendante et impartiale" afin de traduire devant la justice les responsables de la mort de l’étudiant Mouhamadou Fallou Sène.
Dans un communiqué reçu à l’APS, l’ONG demande, "en plus du déclenchement de l’action publique par le procureur de la République et de la mission confiée à l’IGE par le président de la République, qu’une commission d’enquête indépendante et impartiale soit mise en place afin que les responsabilités dans ce meurtre odieux soientt situées et que les auteurs soient traduits devant la justice".
La RADDHO "condamne vigoureusement l’emploi disproportionné de la force et l’usage de balles réelles par les forces de l’ordre pour disperser une manifestation pacifique d’étudiants réclamant leurs droits".
Elle rappelle que l’emploi des armes à feu "est strictement réglementé par les textes internationaux, le code de conduite pour les responsables de l’application de la loi adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 17 décembre 1979".
La RADDHO souligne également que "le caractère sacré de la vie humaine est garanti par les instruments juridiques internationaux auxquels le Sénégal a souscrit (….)".
Dans un communiqué reçu à l’APS, l’ONG demande, "en plus du déclenchement de l’action publique par le procureur de la République et de la mission confiée à l’IGE par le président de la République, qu’une commission d’enquête indépendante et impartiale soit mise en place afin que les responsabilités dans ce meurtre odieux soientt situées et que les auteurs soient traduits devant la justice".
La RADDHO "condamne vigoureusement l’emploi disproportionné de la force et l’usage de balles réelles par les forces de l’ordre pour disperser une manifestation pacifique d’étudiants réclamant leurs droits".
Elle rappelle que l’emploi des armes à feu "est strictement réglementé par les textes internationaux, le code de conduite pour les responsables de l’application de la loi adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 17 décembre 1979".
La RADDHO souligne également que "le caractère sacré de la vie humaine est garanti par les instruments juridiques internationaux auxquels le Sénégal a souscrit (….)".