Invité de l’émission dominicale « Remue ménage » de la radio Futurs médias (Rfm), M. Lô constate que dans notre pays, ont applique une « politique (budgétaire) irresponsable » avant une élection majeure. Mais, après il y a un retour à l’orthodoxie « si c’est un gouvernement responsable », ce qui ne serait pas le cas au vu de la morosité économique dans laquelle est plongé le Sénégal un an après les deux scrutins majeurs.
L’économiste pense en outre que le déficit budgétaire, creusé notamment par les dépassements budgétaires incontrôlés et marqué par la dette intérieur très élevée, résulte d’un problème « globale de « cadrage global de la politique économique ». « Tous cela est incohérent », déplore-t-il.
Le Sénégal est tombé dans une crise économique depuis un an sur fond d’une inflation galopante et débridée. Une situation si critique que le pays, jusque-là « chouchou et élève modèle » du Fmi, s’est vu remonter les bretelles et obligé d’appliqué des politique d’ajustement. Lesquelles ont vu la levée de certaines subventions publiques pour diminuer les charges étatiques. Cela s’est fait notamment au détriment des populations les plus démunies, car 55 % des avantages dans les subventions, par exemple du riz et du gaz, profitent davantage au plus riches, à en croire M. Lô.
source nettali
L’économiste pense en outre que le déficit budgétaire, creusé notamment par les dépassements budgétaires incontrôlés et marqué par la dette intérieur très élevée, résulte d’un problème « globale de « cadrage global de la politique économique ». « Tous cela est incohérent », déplore-t-il.
Le Sénégal est tombé dans une crise économique depuis un an sur fond d’une inflation galopante et débridée. Une situation si critique que le pays, jusque-là « chouchou et élève modèle » du Fmi, s’est vu remonter les bretelles et obligé d’appliqué des politique d’ajustement. Lesquelles ont vu la levée de certaines subventions publiques pour diminuer les charges étatiques. Cela s’est fait notamment au détriment des populations les plus démunies, car 55 % des avantages dans les subventions, par exemple du riz et du gaz, profitent davantage au plus riches, à en croire M. Lô.
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