Nos ambitions partisanes ne doivent pas prendre le dessus sur notre capacité à tenir une réflexion scientifique et objective. Mais hélas, la posture récidiviste de ce Monsieur nous force à affirmer que sa nomination fut une grosse erreur.
Comment peut-on s’en prendre si violemment au Président de la République pour avoir étalé au grand jour ses œuvres et son travail au peuple sénégalais ? Le Président de la République est élu par les sénégalais pour une mission et ces derniers ont besoin de voir et de juger avant de choisir.
Cette démarche évidente du président Macky SALL de se plier à l’exigence de la transparence est me semble-t-il un rituel normal commun à toutes les démocraties du monde.
Considérer que les chantiers qui émergent actuellement au Sénégal, comme étant la « nouvelle frontière » à atteindre ou comme un « moyen de consolider un soutien électoral » me semble être d’une suffisance éloquente voire limitée pour un économiste. Cela voudrait dire qu’un Président élu pour travailler doit rester les bras ballant à ne rien faire de peur d’être pris pour vulgaire « chasseur d’électeurs ».
Monsieur LÔ, il n’y a rien de tabou pour un Président de travailler pour le bien être de son peuple qui l’a élu ! On n’a pas besoin de faire Harvard pour comprendre que ces travaux sont une preuve d’une vitalité et d’un dynamisme économique qui entrainent forcément une croissance. Leur pertinence et leur efficacité pour la résolution des problèmes des sénégalais ne sont plus à démontrer.
Les sénégalais ne font-ils pas encore face à des problèmes tels que le chômage, l’accès à un logement décent, à la santé ou encore à l’électricité? Ces chantiers ne sont pas sortis de nulle part, ils sont le fruit d’une grande réflexion formalisée dans le programme YOONU YOKKUTE dont le but ultime est de rendre la vie des sénégalais, meilleure.
Prôner une gouvernance centrée sur des urgences conduirait à des précipitations dans l’administration des solutions et vouerait à l’échec toutes les politiques. Le temps des urgences est dépassé, on ne peut pas ambitionner le développement d’un pays en continuant à fonctionner sur des urgences. Une telle option dépourvue de toute organisation serait sans effet et le Président l’a bien compris en s’armant d’une démarche méthodique.
Les contraintes liées à la productivité ou à la compétitivité de nos entreprises ne sont – elles pas juridiques, fiscales et financières ? A ce propos, c’est être aveugle et borné que de ne pas voir les initiatives révolutionnaires destinées à lever ces contraintes.
En effet, une large politique de modernisation des outils de production est entreprise. (Facilitation de l’importation de matériels agricoles, mise en place de fermes agricoles, incitations fiscales à la création…).
A ces initiatives il faudrait ajouter les mécanismes de financement que sont le FONGIP, le FONSIS ou le BNDS qui sont là pour résoudre le problème lié à l’accès au crédit et au financement des entreprises sénégalaises.
Que dire des programmes sociaux sans précédent qui sont en place pour réduire la pauvreté au Sénégal. Je veux nommer la Bourse de la Sécurité Sociale, l’Assurance Maladie, gratuité pour l’accès aux soins pour certaines catégories de personnes au Sénégal ; il s’agit là d’une véritable offre sociale.
Le programme YOONU YOKKUTE est bâti sur la base d’un constat réel de la situation du Sénégal après des tournées et immersions dans le Sénégal profond. De ce constat, des idées sont nées afin de construire la vision et la certitude du Président Macky SALL à sortir le Sénégal des ténèbres.
Ça c’est être responsable !
Touradou SOW
Responsable APR Strasbourg
touradou23@yahoo.fr
Comment peut-on s’en prendre si violemment au Président de la République pour avoir étalé au grand jour ses œuvres et son travail au peuple sénégalais ? Le Président de la République est élu par les sénégalais pour une mission et ces derniers ont besoin de voir et de juger avant de choisir.
Cette démarche évidente du président Macky SALL de se plier à l’exigence de la transparence est me semble-t-il un rituel normal commun à toutes les démocraties du monde.
Considérer que les chantiers qui émergent actuellement au Sénégal, comme étant la « nouvelle frontière » à atteindre ou comme un « moyen de consolider un soutien électoral » me semble être d’une suffisance éloquente voire limitée pour un économiste. Cela voudrait dire qu’un Président élu pour travailler doit rester les bras ballant à ne rien faire de peur d’être pris pour vulgaire « chasseur d’électeurs ».
Monsieur LÔ, il n’y a rien de tabou pour un Président de travailler pour le bien être de son peuple qui l’a élu ! On n’a pas besoin de faire Harvard pour comprendre que ces travaux sont une preuve d’une vitalité et d’un dynamisme économique qui entrainent forcément une croissance. Leur pertinence et leur efficacité pour la résolution des problèmes des sénégalais ne sont plus à démontrer.
Les sénégalais ne font-ils pas encore face à des problèmes tels que le chômage, l’accès à un logement décent, à la santé ou encore à l’électricité? Ces chantiers ne sont pas sortis de nulle part, ils sont le fruit d’une grande réflexion formalisée dans le programme YOONU YOKKUTE dont le but ultime est de rendre la vie des sénégalais, meilleure.
Prôner une gouvernance centrée sur des urgences conduirait à des précipitations dans l’administration des solutions et vouerait à l’échec toutes les politiques. Le temps des urgences est dépassé, on ne peut pas ambitionner le développement d’un pays en continuant à fonctionner sur des urgences. Une telle option dépourvue de toute organisation serait sans effet et le Président l’a bien compris en s’armant d’une démarche méthodique.
Les contraintes liées à la productivité ou à la compétitivité de nos entreprises ne sont – elles pas juridiques, fiscales et financières ? A ce propos, c’est être aveugle et borné que de ne pas voir les initiatives révolutionnaires destinées à lever ces contraintes.
En effet, une large politique de modernisation des outils de production est entreprise. (Facilitation de l’importation de matériels agricoles, mise en place de fermes agricoles, incitations fiscales à la création…).
A ces initiatives il faudrait ajouter les mécanismes de financement que sont le FONGIP, le FONSIS ou le BNDS qui sont là pour résoudre le problème lié à l’accès au crédit et au financement des entreprises sénégalaises.
Que dire des programmes sociaux sans précédent qui sont en place pour réduire la pauvreté au Sénégal. Je veux nommer la Bourse de la Sécurité Sociale, l’Assurance Maladie, gratuité pour l’accès aux soins pour certaines catégories de personnes au Sénégal ; il s’agit là d’une véritable offre sociale.
Le programme YOONU YOKKUTE est bâti sur la base d’un constat réel de la situation du Sénégal après des tournées et immersions dans le Sénégal profond. De ce constat, des idées sont nées afin de construire la vision et la certitude du Président Macky SALL à sortir le Sénégal des ténèbres.
Ça c’est être responsable !
Touradou SOW
Responsable APR Strasbourg
touradou23@yahoo.fr