« Créez, inventez, accusez, mais par la grâce d'Allah, vous n'aurez pas la majorité à l'Assemblée nationale, car vous ne faites plus rêver.
Sonko et Consorts ont encore tort et l'on se demande s'ils ne souffrent pas de troubles cyclothymiques.
Ils crient au voleur contre les anciens dignitaires du régime de Macky Sall. Et, ils font encore éclater de rire les uns et enrager les autres.
Pourtant, dans le Pastef, Sonko a fini par recevoir dans son parti de faux types, des vomissures du jeu électoral, des prédateurs de finances publiques, des renégats et des fossoyeurs, qui incarnent le parjure dans le jeu politique sénégalais.
Ils sont mille apostats qui infectent le régime. Le régime de Pastef soupçonne et accuse. Mais il compte énormément, en son sein, de prédateurs dont les masques sont tombés et les forfaitures hideusement dénudées. Et ce sont ces pillards et fossoyeurs qui crient au voleur !
Combien de femmes et d’hommes politiques, dans ce régime, sont supposés impliqués dans des scandales, qui devaient répondre à la justice pour des actes délictuels ?
Ils vaguent tranquillement et aisément à leurs occupations, sans être inquiétés. Ils n’ont pas fui. Mais ils ont volé et ne sont pas inquiétés.
Si de faux chiffres ont été fournis par l'ancien régime, comme l'a éhontément souligné Ousmane Sonko, le ministre des Finances qui fut directeur de la Programmation budgétaire sous Macky Sall, devrait directement être interpelé et sa démission doit être imminente.
Pour une rencontre sur l'état des lieux des finances publiques, l'absence de Cheikh Diba, actuel ministre des Finances et ancien Directeur de la programmation budgétaire sous l'ancien régime, inquiète.
Rappelons que la levée des subventions sur l’énergie qu'avait imposée le FMI, le Président Macky Sall ne l'a jamais accepté, au motif que cela entraînerait comme conséquence, l’augmentation du prix de l’électricité, de l'eau, du carburant et des denrées de première nécessité.
Tout ce tintamarre prouve leur incapacité à respecter leurs engagements, notamment la promesse d’amélioration des conditions de vie des Sénégalais. Tout n’est que mensonges, manipulation et justification de leurs incompétences.
Mais, l’atmosphère de pré-campagne électorale pour les Législatives est si ténébreuse, que ce régime qui sollicite le suffrage des électeurs, sanglote, sanglote, sanglote et sanglote.
Salir le Président Macky Sall sera difficile pour quelqu'un qui a transformé le visage du Sénégal et créé l'épanouissement des citoyens. Le président Macky Sall est adulé partout dans le monde. Pour preuve, il a été chaleureusement félicité par le Président français.
En conclusion, nous n'avons de leçon morale politique à recevoir de Ousmane Sonko, qui a gambadé sur des cadavres pour accéder au pouvoir, avec son Mortal Kombat.
S'ils pensent qu'accuser d'honnêtes citoyens peut leur donner une majorité à l'Assemblée nationale, ils se trompent lourdement.
L'urgence, ce sont les solutions pour les jeunes qui meurent en mer, le chômage des jeunes, l'inflation généralisée…
Par ailleurs, je salue la posture républicaine du Ministre de la Justice et garde des Sceaux, Ousmane Diagne. »
Mouhamadou Lamine Massaly,
Président du Parti de l'Union pour une Nouvelle République,
Membre de la coalition Takku Wallu Sénégal
Sonko et Consorts ont encore tort et l'on se demande s'ils ne souffrent pas de troubles cyclothymiques.
Ils crient au voleur contre les anciens dignitaires du régime de Macky Sall. Et, ils font encore éclater de rire les uns et enrager les autres.
Pourtant, dans le Pastef, Sonko a fini par recevoir dans son parti de faux types, des vomissures du jeu électoral, des prédateurs de finances publiques, des renégats et des fossoyeurs, qui incarnent le parjure dans le jeu politique sénégalais.
Ils sont mille apostats qui infectent le régime. Le régime de Pastef soupçonne et accuse. Mais il compte énormément, en son sein, de prédateurs dont les masques sont tombés et les forfaitures hideusement dénudées. Et ce sont ces pillards et fossoyeurs qui crient au voleur !
Combien de femmes et d’hommes politiques, dans ce régime, sont supposés impliqués dans des scandales, qui devaient répondre à la justice pour des actes délictuels ?
Ils vaguent tranquillement et aisément à leurs occupations, sans être inquiétés. Ils n’ont pas fui. Mais ils ont volé et ne sont pas inquiétés.
Si de faux chiffres ont été fournis par l'ancien régime, comme l'a éhontément souligné Ousmane Sonko, le ministre des Finances qui fut directeur de la Programmation budgétaire sous Macky Sall, devrait directement être interpelé et sa démission doit être imminente.
Pour une rencontre sur l'état des lieux des finances publiques, l'absence de Cheikh Diba, actuel ministre des Finances et ancien Directeur de la programmation budgétaire sous l'ancien régime, inquiète.
Rappelons que la levée des subventions sur l’énergie qu'avait imposée le FMI, le Président Macky Sall ne l'a jamais accepté, au motif que cela entraînerait comme conséquence, l’augmentation du prix de l’électricité, de l'eau, du carburant et des denrées de première nécessité.
Tout ce tintamarre prouve leur incapacité à respecter leurs engagements, notamment la promesse d’amélioration des conditions de vie des Sénégalais. Tout n’est que mensonges, manipulation et justification de leurs incompétences.
Mais, l’atmosphère de pré-campagne électorale pour les Législatives est si ténébreuse, que ce régime qui sollicite le suffrage des électeurs, sanglote, sanglote, sanglote et sanglote.
Salir le Président Macky Sall sera difficile pour quelqu'un qui a transformé le visage du Sénégal et créé l'épanouissement des citoyens. Le président Macky Sall est adulé partout dans le monde. Pour preuve, il a été chaleureusement félicité par le Président français.
En conclusion, nous n'avons de leçon morale politique à recevoir de Ousmane Sonko, qui a gambadé sur des cadavres pour accéder au pouvoir, avec son Mortal Kombat.
S'ils pensent qu'accuser d'honnêtes citoyens peut leur donner une majorité à l'Assemblée nationale, ils se trompent lourdement.
L'urgence, ce sont les solutions pour les jeunes qui meurent en mer, le chômage des jeunes, l'inflation généralisée…
Par ailleurs, je salue la posture républicaine du Ministre de la Justice et garde des Sceaux, Ousmane Diagne. »
Mouhamadou Lamine Massaly,
Président du Parti de l'Union pour une Nouvelle République,
Membre de la coalition Takku Wallu Sénégal