
M.Mbodj trouve en effet « inacceptable » par rapport à la transparence qu’on engage « une dépense non autorisée ». Selon lui, « il faut essayer de mesure la réaction (de l’Etat) par rapport à l’ampleur du problème ». Il semble cependant regretter que ce soit le Fonds monétaire international (Fmi) qui ait permis de déceler la fraude alors qu’il existe des « mécanismes internes du contrôle ».
Le Coordonnateur du Forum Civil estime en effet que les contrôles doivent s’exercer en amont. « Le Parlement doit jouer son rôle ». Selon Mbodj, « le Parlement est assisté par la Cour des comptes. La loi de Règlement existe. C’est un outil plus performant que la loi des finances. Malgré ce dispositif, on signale toujours des problèmes de cette nature », déplore Mbodj qui encourage un retour à l’orthodoxie de la gestion des deniers publics .
Expliquant les procédures admises en matière de dépenses budgétaires, le Coordonnateur du Forum Civil souligne que « dans les normes, c’est le ministre de l’Economie et des Finances qui est l’ordonnateur du budget ». Mais visiblement, explique-t-il en se fondant sur les informations de la presse, « il y a eu des défaillances humaines » et sans doute aussi des « complicités ou du laxisme au niveau du ministère du Budget ».
Le Coordonnateur du Forum Civil estime en effet que les contrôles doivent s’exercer en amont. « Le Parlement doit jouer son rôle ». Selon Mbodj, « le Parlement est assisté par la Cour des comptes. La loi de Règlement existe. C’est un outil plus performant que la loi des finances. Malgré ce dispositif, on signale toujours des problèmes de cette nature », déplore Mbodj qui encourage un retour à l’orthodoxie de la gestion des deniers publics .
Expliquant les procédures admises en matière de dépenses budgétaires, le Coordonnateur du Forum Civil souligne que « dans les normes, c’est le ministre de l’Economie et des Finances qui est l’ordonnateur du budget ». Mais visiblement, explique-t-il en se fondant sur les informations de la presse, « il y a eu des défaillances humaines » et sans doute aussi des « complicités ou du laxisme au niveau du ministère du Budget ».