« La montagne du Non a accouché d’une souris, j’allais même dire d’une petite souris », a-t-il dit d’emblée avant d’ajouter que cela ne le surprenait pas, parce que « le Non n’apporte aucune valeur ajoutée à la démocratie sénégalaise et aux avancées démocratiques » et que, selon lui le pays mérite cette victoire du peuple sénégalais. « Le Sénégal vient de montrer au monde qu’un pays peut être sous développé certes, mais démocratique », se réjouit-il.
Moustapha Diakhaté de soutenir que la leçon que l’on peut en tirer c’est que « les Sénégalais ont dit non à l’intoxication, au mensonge, à l’indigne campagne menée par le camp du Non qui est allé jusqu’à accuser le président de la République de vouloir légaliser l’homosexualité, le Sénégal a aussi dit non à ces 145 professeurs qui se sont auto proclamés la bouche de la Constitution ».
Pour ceux qui demandaient au Président Sall de démissionner si, toutefois, le Non l’emportait sur le Oui, il dira : « Ce qu’ils doivent tirer de ces référendum, c’est que le Sénégal n’attend rien d’eux ». Et, s'adressant à Idrissa Seck, il ajoutera : « Le référendum vient de confirmer qu’il s’agit d’une ancienne gloire de la classe politique que le Sénégal n’attend plus rien de lui. Il est devenu un objet de musée politique ». Cependant, il lance tout de même un appel au Président « de s’ouvrir à l’opposition et de ne retenir aucune rancœur à son égard, malgré la violence de la campagne qu'(ils) ont subi ». Au camp du Non, il lui demande « de faire amende honorable, de reconnaître qu’il s’est trompé de thématique et de référendum ».
Mariama Kobar Saleh
Moustapha Diakhaté de soutenir que la leçon que l’on peut en tirer c’est que « les Sénégalais ont dit non à l’intoxication, au mensonge, à l’indigne campagne menée par le camp du Non qui est allé jusqu’à accuser le président de la République de vouloir légaliser l’homosexualité, le Sénégal a aussi dit non à ces 145 professeurs qui se sont auto proclamés la bouche de la Constitution ».
Pour ceux qui demandaient au Président Sall de démissionner si, toutefois, le Non l’emportait sur le Oui, il dira : « Ce qu’ils doivent tirer de ces référendum, c’est que le Sénégal n’attend rien d’eux ». Et, s'adressant à Idrissa Seck, il ajoutera : « Le référendum vient de confirmer qu’il s’agit d’une ancienne gloire de la classe politique que le Sénégal n’attend plus rien de lui. Il est devenu un objet de musée politique ». Cependant, il lance tout de même un appel au Président « de s’ouvrir à l’opposition et de ne retenir aucune rancœur à son égard, malgré la violence de la campagne qu'(ils) ont subi ». Au camp du Non, il lui demande « de faire amende honorable, de reconnaître qu’il s’est trompé de thématique et de référendum ».
Mariama Kobar Saleh