A l’en croire, nous dit «L’As », décréter l’état d’urgence ou l’état de siège est un recul démocratique. « Donner au président de la République une loi qui l’habilite à se substituer l’Assemblée nationale pour agir ! A la limite même, on peut considérer cela comme un coup d’Etat», déclare-t-il lors d’un point presse organisé par la plateforme multi-luttes «Doyna».
Poursuivant son propos, il invite ainsi le Chef de l’Etat à consolider la démocratie du pays.
«S’il estime qu’il doit confirmer cet état d’urgence par l’Assemblée Nationale, qu’il envoie un projet de loi et même par procédure diligente, les gens peuvent l’adopter», indique-t-il, avant de le mettre en garde sur les risques qui peuvent conduire des Sous-préfets ou des Préfets, à décréter un état d’urgence dans leur zone de couverture.
L’As
Poursuivant son propos, il invite ainsi le Chef de l’Etat à consolider la démocratie du pays.
«S’il estime qu’il doit confirmer cet état d’urgence par l’Assemblée Nationale, qu’il envoie un projet de loi et même par procédure diligente, les gens peuvent l’adopter», indique-t-il, avant de le mettre en garde sur les risques qui peuvent conduire des Sous-préfets ou des Préfets, à décréter un état d’urgence dans leur zone de couverture.
L’As