
«Je persiste et signe que Mimi Touré peut bel et bien devenir présidente de la République. Il n’y a rien de surprenant, ni d’étonnant. Je le dis par rapport à sa personnalité, sa formation, son cursus professionnel, son parcours méritant, son passage honorable au niveau du ministère de la Justice», a déclaré le Pca de Sn-Hlm avant d’expliquer : «Les quatre présidents de la République que notre pays a connus jusqu’ici, les deux l’ont été à partir de la Primature. Donc, si Mimi parvient à réaliser la politique de la nation définie par le Président et condensée dans sa Déclaration de politique générale, permettant ainsi à ce dernier de bénéficier une deuxième fois de la confiance de la majorité des Sénégalais à la Présidentielle de 2017».
«Quand on ne peut plus tenir un poste, on le libère»
Sur la même lancée, «Che» appelle à une synergie des forces autour du chef du gouvernement pour la concrétisation de la vision de Macky Sall. «Sa réussite est celle du président de la République. La soutenir, c’est soutenir Macky Sall. Lui faire des crocs en jambe, c’est combattre le président», dira-t-il.
Quant à la décision prise par Karim Wade de ne plus répondre aux convocations de la Crei, le leader de l’Apl déconseille à Wade-fils de ne pas passer à l’acte. «Je le jure sur le Coran que Karim Wade ne l’a pas dit. Je sais dans quel état d’esprit se trouve Karim Wade. Même s’il l’avait dit, ce qui n’est pas le cas, ces conseils ne devaient pas reprendre cela au niveau des médias. Ne pas répondre aux convocations du Procureur spécial de la Crei est un délit puni par la loi», a expliqué M. Fall. Et d’ajouter : «Ces conseils ont perdu la bataille juridique avant l’heure, ils veulent transposer l’affaire sur le terrain politique. Mais, la vérité est que Karim Wade répondra à la date et à l’heure indiquées, s’il est convoqué par le Procureur spécial de la Crei».
Sur un autre registre, le Pca de Sn-Hlm regrette la démission de Jacques Diouf de son poste de Conseiller spécial du chef de l’Etat. Non sans préciser que les Conseillers sont utilisés en fonction des besoins et de leurs spécialités. «Je n’ai jamais cautionné les départs, j’aurais bien voulu qu’il (Ndlr : Jacques Diouf) reste avec le président de la République qui le respecte beaucoup (…) Quand on ne peut plus tenir un poste, on le libère. Il n’y a rien de mal, mais l’idéal, pour moi, est de rester, de continuer à travailler avec le Président», a conclu M. Fall.
Le Populaire
«Quand on ne peut plus tenir un poste, on le libère»
Sur la même lancée, «Che» appelle à une synergie des forces autour du chef du gouvernement pour la concrétisation de la vision de Macky Sall. «Sa réussite est celle du président de la République. La soutenir, c’est soutenir Macky Sall. Lui faire des crocs en jambe, c’est combattre le président», dira-t-il.
Quant à la décision prise par Karim Wade de ne plus répondre aux convocations de la Crei, le leader de l’Apl déconseille à Wade-fils de ne pas passer à l’acte. «Je le jure sur le Coran que Karim Wade ne l’a pas dit. Je sais dans quel état d’esprit se trouve Karim Wade. Même s’il l’avait dit, ce qui n’est pas le cas, ces conseils ne devaient pas reprendre cela au niveau des médias. Ne pas répondre aux convocations du Procureur spécial de la Crei est un délit puni par la loi», a expliqué M. Fall. Et d’ajouter : «Ces conseils ont perdu la bataille juridique avant l’heure, ils veulent transposer l’affaire sur le terrain politique. Mais, la vérité est que Karim Wade répondra à la date et à l’heure indiquées, s’il est convoqué par le Procureur spécial de la Crei».
Sur un autre registre, le Pca de Sn-Hlm regrette la démission de Jacques Diouf de son poste de Conseiller spécial du chef de l’Etat. Non sans préciser que les Conseillers sont utilisés en fonction des besoins et de leurs spécialités. «Je n’ai jamais cautionné les départs, j’aurais bien voulu qu’il (Ndlr : Jacques Diouf) reste avec le président de la République qui le respecte beaucoup (…) Quand on ne peut plus tenir un poste, on le libère. Il n’y a rien de mal, mais l’idéal, pour moi, est de rester, de continuer à travailler avec le Président», a conclu M. Fall.
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