C’est la colère à la Faculté des Sciences et Technologie de l’Éducation et de la Formation (FASTEF) où les enseignants en formation sont sortis de leur silence ce vendredi, pour exprimer leur mécontentement face aux agissements des autorités. Ils ont tenu une conférence de presse hier devant les locaux de la FASTEF pour faire entendre leur cri de cœur.
Ces enseignants exigent tout simplement le paiement sans condition de leurs bourses. Par la voix de Mamadou Lamine Diouf, le coordonnateur des chargés de cours mis en position de stage a la FASTEF, a jeté aux poubelles les explications données par la direction des bourses juste après la première conférence de presse des enseignants stagiaires tenu le 23 septembre passé.
Selon lui, la direction verse dans le « dilatoire ». Ces enseignants qui ont clairement pointé du doigt la direction des bourses accuse celle-ci d’avoir voulu « mettre la poudre aux yeux de l'opinion en parlant d'indemnités de stage tout en voulant traîner les choses en longueur jusqu'à la fin de session. Leurs propos ne tiennent pas du tout la route », a-t-il lancé, estimant que les « allocations de la direction ne tiennent sur aucune base juridique ».
Poursuivant, le coordonnateur des chargés de cours mis en position de stage a la FASTEF, rappelle que « l'article 70 du décret numéro 82-518 du 23 juillet 1982 qui stipule qu'une allocation de stage doit être allouée aux fonctionnaires en vue de bénéficier d'une formation leur permettant l'accès aux hiérarchies supérieures en vue d'un perfectionnement destiné à leur permettre d'assurer dans les meilleures conditions, des fonctions qui leur sont dévolues et auxquelles ils ont normalement vocation ».
Les enseignants stagiaires composés en grande partie de chargés de cours, comptant plus de 300 agents fonctionnaire de l’état réclament dénoncent « la discrimination et le mépris » dans le traitement de leur dossier et réclament ainsi « la justice et l'équité » dans le paiement des bourses.
« Une minorité a été 144 stagiaires au détriment de la majorité que nous constituons, cette injustice doit être réparée », a fustigé Mamadou Lamine Diouf. Les enseignants stagiaires à la Faculté des Sciences et Technologie de l’Éducation et de la Formation (FASTEF) invitent les autorités compétentes à répondre leurs préoccupations en respectant leurs droits. Au cas contraire, ils menacent de perturber le bon déroulement de toutes les activités au niveau de la FASTEF du 1er au 12 octobre prochain, c'est-à-dire les examens de fin d'année.
Le Grand Panel
Ces enseignants exigent tout simplement le paiement sans condition de leurs bourses. Par la voix de Mamadou Lamine Diouf, le coordonnateur des chargés de cours mis en position de stage a la FASTEF, a jeté aux poubelles les explications données par la direction des bourses juste après la première conférence de presse des enseignants stagiaires tenu le 23 septembre passé.
Selon lui, la direction verse dans le « dilatoire ». Ces enseignants qui ont clairement pointé du doigt la direction des bourses accuse celle-ci d’avoir voulu « mettre la poudre aux yeux de l'opinion en parlant d'indemnités de stage tout en voulant traîner les choses en longueur jusqu'à la fin de session. Leurs propos ne tiennent pas du tout la route », a-t-il lancé, estimant que les « allocations de la direction ne tiennent sur aucune base juridique ».
Poursuivant, le coordonnateur des chargés de cours mis en position de stage a la FASTEF, rappelle que « l'article 70 du décret numéro 82-518 du 23 juillet 1982 qui stipule qu'une allocation de stage doit être allouée aux fonctionnaires en vue de bénéficier d'une formation leur permettant l'accès aux hiérarchies supérieures en vue d'un perfectionnement destiné à leur permettre d'assurer dans les meilleures conditions, des fonctions qui leur sont dévolues et auxquelles ils ont normalement vocation ».
Les enseignants stagiaires composés en grande partie de chargés de cours, comptant plus de 300 agents fonctionnaire de l’état réclament dénoncent « la discrimination et le mépris » dans le traitement de leur dossier et réclament ainsi « la justice et l'équité » dans le paiement des bourses.
« Une minorité a été 144 stagiaires au détriment de la majorité que nous constituons, cette injustice doit être réparée », a fustigé Mamadou Lamine Diouf. Les enseignants stagiaires à la Faculté des Sciences et Technologie de l’Éducation et de la Formation (FASTEF) invitent les autorités compétentes à répondre leurs préoccupations en respectant leurs droits. Au cas contraire, ils menacent de perturber le bon déroulement de toutes les activités au niveau de la FASTEF du 1er au 12 octobre prochain, c'est-à-dire les examens de fin d'année.
Le Grand Panel