En effet, après avoir défait l’équipe de Mboolo et obtenu de haute lutte le ticket de la finale zonale 2013, l’équipe de la Zone B - tel l’agneau du sacrifice- a vu son rêve de remporter pour la première fois de son histoire le trophée zonal tant convoité, devenir un cauchemar du fait de l’immaturité, de l’incompétence et de la méchanceté d’un petit groupe qui compose la CQRP de la zone 4 A de Dakar.
Immaturité car une finale, ça se fête et une fête doit commencer du coup de sifflet final de la demi-finale jusqu’au coup de sifflet marquant le début de la finale.
Ce groupe n’a rien trouvé de mieux à faire que de priver la joie à des jeunes, des tout-petits devant festoyer dans les ruelles de la Zone B et préparer sereinement, de ce fait, la grande finale.
Leur immaturité réside dans leur sinistre dessein de saborder le succès acquis par l’ASC Zone B ; ce qui pourrait ne pas rester sans conséquence.
Au moment où la violence gangrène le mouvement navétanes, de vrais dirigeants responsables et matures prendraient, à coup sûr, le contrepied de ces pseudo-responsables en rendant des décisions justes conformément aux lois et règlements qui régissent le mouvement.
Aussi, les membres de la CQRP de la Zone 4 A de Dakar ne devraient-ils pas voler aussi bas au risque d’être considérés comme des oiseaux de mauvais augure annonceurs de mauvaises nouvelles.
Le sport est connu pour son pouvoir de rassembler les peuples mais s’il constitue une source de division, de violence ou de désunion, c’est parce que l’ignorance, le manque de bon sens, l’oisiveté et la mise en avant des intérêts matériels constituent le dénominateur commun de certains dirigeants censés présider aux destinées du mouvement.
Incompétence car mon statut de non juriste ne m’empêche pas de confirmer l’adage qui veut que nul n’est censé ignorer la loi.
L’un des principes de base du droit est qu’il a un objet probatoire et nulle part dans la décision rendue par la CQRP, il n’est apparu une preuve tangible à même d’identifier le joueur incriminé.
En matière de droit, des décisions rendues sans preuves, j’en connais pas, par contre, le bénéfice du doute est bel et bien une notion de droit de même que le défaut de preuves ; ce qui a perdu l’ASC Point E face a la Zone A.
Qui peut le plus peut le moins a-t-on l’habitude de dire.
Et dans ce cas précis, la question qui me taraude l’esprit est pourquoi on a refusé au Point E ce qu’on a accepté pour Mboolo ou pourquoi a-t-on refusé à la Zone B ce qu’on a accepté pour la zone A ?
La réponse à cette question pourrait m’édifier sur l’attitude de ces « juristes » d’un jour.
Méchanceté car ne pas répondre à cette question me ferait dire qu’il y a soit des problèmes crypto-personnels entre certains membres de la CQRP et les dirigeants de la Zone B, soit une volonté manifeste de nuire, de déstabiliser l’ASC Zone B : mais cela ne prospérera pas.
Cette situation pose la lancinante question de l’occupation des postes au sein du mouvement par certains dirigeants irresponsables et irrespectueux de leurs mandants.
Les autorités, pour endiguer la violence, doivent assainir le milieu occupé par des gens –eux-mêmes sources de violence- mus par des intérêts bassement matériels et qui se servent du mouvement au lieu de le servir.
A l’heure où la plus haute autorité du pays avance l’idée d’une ASC- un projet, ces gens devraient être en phase avec le premier des sénégalais en ayant à l’esprit le culte du travail bien fait.
J’en appelle au sens élevé de la responsabilité de l’ODCAV de Dakar pour rétablir l’ASC Zone B dans ses droits et entrer dans les annales de l’histoire du mouvement navétanes.
Ce ne serait que justice rendue et présagerait d’une finale inédite entre les deux Zones A et B pour une meilleure déférence des férus des navetanes et pour rendre au sport en général et au football en particulier son lustre d’antan ; sinon l’opinion entière désespérera de la CQRP de la Zone 4 A de Dakar face à cette dictature qui n’a que trop duré.
La Zone B, debout comme un seul homme, usera de tous les moyens dont elle dispose pour contrecarrer le funeste dessein de certains membres de la CQRP.
Talla SAMB
Ancien Vice-Président
Immaturité car une finale, ça se fête et une fête doit commencer du coup de sifflet final de la demi-finale jusqu’au coup de sifflet marquant le début de la finale.
Ce groupe n’a rien trouvé de mieux à faire que de priver la joie à des jeunes, des tout-petits devant festoyer dans les ruelles de la Zone B et préparer sereinement, de ce fait, la grande finale.
Leur immaturité réside dans leur sinistre dessein de saborder le succès acquis par l’ASC Zone B ; ce qui pourrait ne pas rester sans conséquence.
Au moment où la violence gangrène le mouvement navétanes, de vrais dirigeants responsables et matures prendraient, à coup sûr, le contrepied de ces pseudo-responsables en rendant des décisions justes conformément aux lois et règlements qui régissent le mouvement.
Aussi, les membres de la CQRP de la Zone 4 A de Dakar ne devraient-ils pas voler aussi bas au risque d’être considérés comme des oiseaux de mauvais augure annonceurs de mauvaises nouvelles.
Le sport est connu pour son pouvoir de rassembler les peuples mais s’il constitue une source de division, de violence ou de désunion, c’est parce que l’ignorance, le manque de bon sens, l’oisiveté et la mise en avant des intérêts matériels constituent le dénominateur commun de certains dirigeants censés présider aux destinées du mouvement.
Incompétence car mon statut de non juriste ne m’empêche pas de confirmer l’adage qui veut que nul n’est censé ignorer la loi.
L’un des principes de base du droit est qu’il a un objet probatoire et nulle part dans la décision rendue par la CQRP, il n’est apparu une preuve tangible à même d’identifier le joueur incriminé.
En matière de droit, des décisions rendues sans preuves, j’en connais pas, par contre, le bénéfice du doute est bel et bien une notion de droit de même que le défaut de preuves ; ce qui a perdu l’ASC Point E face a la Zone A.
Qui peut le plus peut le moins a-t-on l’habitude de dire.
Et dans ce cas précis, la question qui me taraude l’esprit est pourquoi on a refusé au Point E ce qu’on a accepté pour Mboolo ou pourquoi a-t-on refusé à la Zone B ce qu’on a accepté pour la zone A ?
La réponse à cette question pourrait m’édifier sur l’attitude de ces « juristes » d’un jour.
Méchanceté car ne pas répondre à cette question me ferait dire qu’il y a soit des problèmes crypto-personnels entre certains membres de la CQRP et les dirigeants de la Zone B, soit une volonté manifeste de nuire, de déstabiliser l’ASC Zone B : mais cela ne prospérera pas.
Cette situation pose la lancinante question de l’occupation des postes au sein du mouvement par certains dirigeants irresponsables et irrespectueux de leurs mandants.
Les autorités, pour endiguer la violence, doivent assainir le milieu occupé par des gens –eux-mêmes sources de violence- mus par des intérêts bassement matériels et qui se servent du mouvement au lieu de le servir.
A l’heure où la plus haute autorité du pays avance l’idée d’une ASC- un projet, ces gens devraient être en phase avec le premier des sénégalais en ayant à l’esprit le culte du travail bien fait.
J’en appelle au sens élevé de la responsabilité de l’ODCAV de Dakar pour rétablir l’ASC Zone B dans ses droits et entrer dans les annales de l’histoire du mouvement navétanes.
Ce ne serait que justice rendue et présagerait d’une finale inédite entre les deux Zones A et B pour une meilleure déférence des férus des navetanes et pour rendre au sport en général et au football en particulier son lustre d’antan ; sinon l’opinion entière désespérera de la CQRP de la Zone 4 A de Dakar face à cette dictature qui n’a que trop duré.
La Zone B, debout comme un seul homme, usera de tous les moyens dont elle dispose pour contrecarrer le funeste dessein de certains membres de la CQRP.
Talla SAMB
Ancien Vice-Président